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3 février 2017 - Tuerie à la mosquée du Centre culturel islamique de Québec

Un massacre a eu lieu dans une mosquée du Québec. Il n’est pas question une minute de le justifier. Lire à ce sujet le blog canadien Brisonslemythe: La violence gratuite contre les musulmans est inacceptable.

L’auteur est un révolté du système et c’est un homme seul. Il est difficile de lui attribuer le «titre» de terroriste (les terroristes veulent terroriser par leur acte et soutiennent en général une organisation). Mais la récupération par les musulmans qui se présentent constamment comme des victimes, de même que par leurs porteurs de valises a commencé. Ce tueur-là n’aura pas droit à l’étiquette «déséquilibré».

On suggère que ceux qui combattent pour la laïcité, et se battent contre l’islamisation, le radicalisme et le terrorisme islamiques seraient les coupables. Vile exploitation de cette tragédie.

Les racistes, les populistes, les islamophobes… Quelle belle occasion de fondre sur les adversaires habituels! Ce Canadien, administrateur d'une page Facebook de soutien aux réfugiés, n’y manque pas dans le Huffington Post. Et de manière particulièrement vicieuse:

«C'était une personne qui publiait fréquemment des commentaires extrêmes sur les réseaux sociaux, dénigrant les réfugiés et le féminisme. Il ne s'agissait pas d'une haine aveugle, mais plutôt de cette nouvelle tendance identitaire, conservatrice et nationaliste, plus intolérante qu'haineuse».

… Mais pousse-au-crime quand même?

Et pourtant, le Canada a un besoin impératif de ces « populistes » pour contrer l’aide au suicide que lui apporte Justin Trudeau. Une femme peut déjà dans ce pays participer en niqab à sa cérémonie de naturalisation. Le Québec subit d’énormes pressions pour aménager déraisonnablement. Des sites remarquables tels que Poste de Veille, Point de Bascule (qui signale un ensemble d’articles sur le centre abritant cette mosquée), des militantes de la liberté telle Djemila Benhabib savent à quel point le combat est rude contre ce qui apparait parfois comme l’inexorable expansion d’une idéologie opposée à toutes nos valeurs.

Alexandre Bissonnette a tué six personnes, six hommes puisqu’il est entré dans l’espace privilégié qui leur est réservé. Pour une fois, la discrimination des femmes, qui n’ont pas autant de devoirs divins et sont reléguées aux étages, les a protégées.

Notre introverti, décrit le Huffington post, est un amateur de chasse et d’armes à feu, aux idées politiques de droite, soit pro-Israël (sic!), pro-Trump et anti-immigration. Un homme qui se serait radicalisé à l’occasion de la visite de Marine Le Pen au Canada en mars 2016!

Pour étouffer la critique de l’islam, tous les moyens sont bons, y compris la récupération et l’amalgame si souvent dénoncés.

2017, une année d'espoir

Des aventures, il y en aura pour l'ASVI en 2017 car malgré toutes les preuves à charge qui s'accumulent, l'establishment actuel continue de réclamer encore et toujours plus d'islam sur le continent européen. L'Europe institutionnelle, cette grande malade psychiatrique qui hait ses racines autant qu'elle se hait elle-même, et qui s'injecte des doses massives d'islam dans les veines pour achever plus vite son processus d'autodestruction. Même le Prince Charles, durant ses vœux de Noël à la télévision, a suggéré que nous tournions nos regards vers….Mahomet!! Eh oui, ça ne s'invente pas.

Heureusement, des remèdes apparaissent ici et là. Et l'ASVI est sans aucun doute l'un d'entre eux. De plus en plus de lucides émergent, car les peuples découvrent la grande tromperie orchestrée par les dirigeants islamophiles. La vérité semble se propager lentement et sûrement. Je perçois notamment l'immense espoir que représente la probable alliance entre Trump et Poutine contre les islamistes. En France aussi, les choses bougent: les représentants les plus emblématiques de la soumission à l'islam, à savoir Hollande, Juppé et Sarkozy, ont rejoint les poubelles de l'histoire...

Guy

23 décembre 2016 - Une nouvelle preuve que nous sommes dans un contexte du type 1984 ("Le mensonge, c'est la vérité")

Le 22 décembre, le journal 24 Heures titre: "L'Irakien condamné pour soutien à l'EI sera expulsé" 

Mais on apprend en lisant l'article qu'on ne peut le renvoyer chez lui car il y risque "la torture ou d'autres traitements inhumains". Vu que c'est un islamiste fou furieux, il est certain que les autorités irakiennes vont le coffrer à son retour, évidemment. Peut-on le leur reprocher?

Donc il reste en Suisse, en liberté bien entendu, même si la police estime qu'il est dangereux. Comme la brute islamique tunisienne du fond des âges qui vient de tuer au moins douze personnes à Berlin. Le parlement allemand ne voulait pas le renvoyer en Tunisie pour les mêmes raisons. 

Conclusion: l'Irakien condamné pour soutien à l'Etat Islamique NE SERA PAS expulsé.

Pelagius

21 décembre 2016 - BERLIN

Encore une fois l’horreur. Encore un attentat ignoble avec son lot de cadavres, d’estropiés, de vies brisées.

Et autour de nous, j’entends une grande clameur qui dit « comment, encore, mais pourquoi? »

C’est curieux comme les gens chérissent les causes dont ils abhorrent les conséquences!

Mais oui vous aimez les gentils réfugiés, des familles et des enfants qui ont fui la guerre. Vous donnez de l’argent pour eux, vous répétez en chœur à quel point nous, Européens, sommes égoïstes, nous qui avons eu paix et bonne fortune tombées du ciel. Vous allez réclamer qu’on nous en envoie encore et encore, votre générosité étant sans limites. Vous allez pleurer devant le comptage des morts en Méditerranée et réclamer des corridors humanitaires. Vous allez exhiber des pancartes « No borders », vous allez manifester si, par malheur, votre pays voulait en expulser un ou deux, aussi criminels ou terroristes fussent-ils.

Vous allez nourrir le serpent qui va vous tuer en vous disant qu’à force d’amour il va devenir meilleur. Et quand, à intervalles réguliers, vous apprendrez la nouvelle fusillade, le nouveau camion-bélier, les couteaux, les bombes, les bombonnes de gaz, tous dirigés contre des civils, contre vous-mêmes et vos enfants, vous allez vous effondrer: « comment, encore, mais pourquoi? »

Ce ne sont pas les camions ni les armes qui tuent, ce sont des humains qui les dirigent, et ces humains sont inféodés à une idéologie mortifère qui s’appelle ISLAM et qui, depuis 14 siècles, n’a de cesse de vouloir conquérir la planète pour y instaurer sa loi, la pire de toutes jamais créées, la charia qui prône les discriminations, les châtiments cruels, la peine de mort, l’interdiction de toute forme de liberté.

Après la péninsule arabique ce sont la Perse et le proche Orient qui sont tombés entre ses griffes, puis le Maghreb, l’Espagne, une grande partie de l’Inde, l’empire ottoman. Après Constantinople, il s'est juré de conquérir Rome qui symbolise le monde chrétien, l’Europe, les plus vieilles démocraties du monde qui lui ont encore échappé.

L’étau se resserre sur nous! Et nos dirigeants, qui ont pactisé avec le diable, en sont complices.

Alors maintenant arrêtons de gémir et luttons par tous les moyens légaux dont nous disposons: protégeons nos frontières, fermons les mosquées salafistes, interdisons tout prosélytisme, expulsons les prêcheurs de haine et les criminels, ne tolérons plus sur notre sol que ceux qui font passer les lois civiles avant leur loi religieuse.

8 décembre 2016 - Metin Arditi ou les lettres du caméléon

À propos du discours de Metin Arditi à la remise des diplômes de la Faculté des Lettres de Genève, le 28 novembre 2016 

Je connais le personnage, onctueux, beau parleur, adorant son image et s'écouter pérorer. 

On pourrait s'y tromper à n'écouter son discours que partiellement, mais, tout en laissant croire qu'il fustige le terrorisme, dans un premier temps, on se rend petit à petit compte qu'il caresse son auditoire dans le sens du poil, et à l'Université de Genève on en connaît la direction...

Puis, on comprend que toute l'inculture d'autrui, l'imbécillité dénoncée en début de conférence n'est que la conséquence de notre manque de culture à nous, et partant de notre incapacité à accueillir l'Autre dans sa différence, et sa richesse sous-jacente. Que de belles phrases pour dire des âneries!

À de nombreuses reprises, j’ai pu remarquer son habileté à créer des emballages soignés suivant le public auquel il s'adresse, notamment devant un parterre onusien. Des modèles du genre!

Rien à garder quant au fond de sa pensée, un opportuniste juste désireux d'être admiré pour sa faconde et son agréable aspect...

Henri

24 novembre 2016 - Bains de la Gruyère: un exemple de l’islamisation rampante favorisée par les autorités

L’acceptation par les Bains de la Gruyère à Charmey (FR) de tenues de bain islamiques pour femmes est une nouvelle preuve concrète de l’acquiescement de la Suisse institutionnelle à l’imposition de mœurs musulmanes inacceptables dans notre société, et ce malgré la forte opposition de la population.

Le règlement officiel des Bains, tel qu’il apparaissait encore sur leur site le 13 novembre, indiquait pourtant clairement que les maillots descendant plus bas que le genou n’étaient pas autorisés. Mais une enquête rapide d’un de nos sympathisants ayant repéré une femme en tenue de bain islamique a vite révélé que les femmes musulmanes avaient le droit depuis longtemps de faire fi de cette disposition du règlement. Pour elles, les Bains ont même établi une liste des matières textiles autorisées pour les burkinis et autres tenues mahométanes.

Quand le scandale des passe-droits accordés aux musulmanes a été révélé par le blog de notre présidente et la page Facebook des Déburqadères, la directrice des Bains, Béatrice Ambühl, s’est empressée de faire disparaitre du règlement le passage sur l’interdiction des maillots de bains descendant sous le genou, afin que la preuve de l’inégalité de traitement entre musulmanes et non-musulmanes disparaisse du site. Pour faire taire les critiques, elle a cru trouver un argument irréfutable en avançant que les Bains «ne pratiquent pas de discrimination sur la base de critères religieux». Sauf qu’en donnant aux musulmans des droits spéciaux, on discrimine les non-musulmans qui n’en bénéficient pas.

Ce qui nous choque le plus dans cette affaire, au-delà du veule comportement et de la mauvaise foi de Mme Ambühl, c’est son refus de voir dans les tenues de bain islamiques le symbole de l’ordre politico-juridique de l’islam. Un islam qui infériorise et opprime les femmes en les contraignant à se couvrir de vêtements les enfermant dans leur condition d’objets à la disposition de leur coreligionnaires mâles. Un islam qui investit chaque jour davantage la société suisse.

Laisser l’islam pénétrer l’espace public et les institutions au nom de l’impératif du «vivre ensemble» avec les musulmans, voilà le programme de la Suisse institutionnelle que la directrice ne fait qu’appliquer scrupuleusement et dont la matrice idéologique est le Centre suisse islam et société de Fribourg. Un centre conçu après la votation sur les minarets de 2009 par des hauts fonctionnaires et politiciens pour banaliser l’islam en Suisse. Un repaire d’islamophiles et de prosélytes du dogme de Mahomet, financé par nos impôts, qui incarne et promeut la dhimmitude d’Etat.

La volonté de nombreux habitants du canton de Fribourg de se débarrasser du CSIS s’est traduite par 9133 signatures – un tiers de plus que nécessaire – soutenant l’initiative de l’UDC visant à fermer ce centre. Malheureusement, le Grand conseil du canton a invalidé le 18 mars cette initiative au prétexte qu’elle violait la Constitution fédérale car «discriminatoire, étant basée sur une différence confessionnelle et orientée contre les personnes d'une seule religion». Cette décision funeste s’est basée sur les avis de droit des professeurs Pascal Mahon de l’Université de Neuchâtel et Benjamin Schindler de l’Université de St-Gall. L’UDC du canton de Fribourg a déposé le 17 mai un recours de droit public auprès du Tribunal fédéral, dans le but de contester cette décision. Le peuple a-t-il le droit de décider s’il veut être islamisé? Non, nous disent les juges et politiques.

Puisque le Tribunal fédéral a validé la décision du Grand conseil, les Suisses refusant la diffusion institutionnelle de l’islam dans la société devront alors organiser une initiative visant à modifier l’article 8 al. 2a de la Constitution fédérale sur l’interdiction de discrimination afin de prendre en compte les spécificités liberticides de l’idéologie islamique. De plus, pour éviter que le surplomb juridique de la Convention européenne des droits de l’homme ne vienne s’opposer à cette modification constitutionnelle, il nous faudrait également voter oui à l’initiative contre les juges étrangers pour dénoncer cette convention. L’adaptation de notre Constitution au danger fatal que représente l’islam pour notre démocratie et notre façon de vivre, ainsi que l’indépendance juridique vis-à-vis de la CEDH, sont deux conditions nécessaires pour mener à bien le combat contre l’islamisation de la Suisse. Il s’agit d’éviter ce que Youssef Al-Qaradawi, le guide spirituel des Frères musulmans vénéré par Tariq et Hani Ramadan, a prédit en 2002: «Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons, avec nos lois coraniques nous vous dominerons».

En attendant le légitime rétablissement dans notre pays de la préséance de nos mœurs, de notre culture et de nos lois, renseignez-vous sur les pages Facebook de Christine Bussat et de Mireille Vallette pour savoir quelles sont les piscines de Suisse où les accoutrements islamiques sont refusés car considérés pour ce qu’ils sont véritablement: les étendards d’un dogme hostile aux valeurs suisses d’égalité homme-femme, de droit à l’autonomie des individus et de liberté de conscience. Et boycottons les Bains de la Gruyère!

17 novembre 2017 - Journaliste béat

Ce jeudi 3 novembre, dans son émission matinale, Simon Matthey-Doret reçoit Saïda Keller-Messahli, à propos de la perquisition de la mosquée An'Nur de Winterthour et des appels au meurtre de musulmans non pratiquants lancés par son imam.

Sur le ton calme et modéré qui est le sien, Saïda Keller-Messahli dit que la Suisse a un problème avec ses mosquées en raison du fait que les autorités ont fermé les yeux trop longtemps. Celle de Genève est sous la coupe de l'Arabie saoudite. La Ligue musulmane mondiale promeut un islam rigoriste wahhabite-salafiste dans le monde entier, y compris en Suisse. La toute nouvelle "Organisation européenne des centres islamiques" est active dans la construction de mosquée clés en main, imam radical inclus.
Pour elle, le Conseil central islamique suisse connait parfaitement quels sont, parmi ses membres, ceux qui fomentent l'islam radical.
Rien de bien nouveau dans ces propos qui reflètent la réalité. Saluons le courage de Mme Keller-Messahli et félicitons-la. Par contre, l'attitude de Simon Mathey-Doret était tout simplement ahurissante. Embarrassé, comme s'il découvrait le problème, le journaliste a dit à deux reprises à son interlocutrice "Vos propos sont forts". Qu'est-ce à dire? Qu'il voulait jeter le doute sur ses propos? Qu'elle exagère? Attitude scandaleuse et inquiétante. 
Que conclure? Que M. Matthey-Doret comme beaucoup d'autres de nos compatriotes, roulent objectivement pour le radicalisme islamiste, cela au moment où, en Turquie, des journalistes sont emprisonnés, des journaux attaqués et la liberté d'expression mise en veilleuse au nom d'un fascisme vert.
Camille

31 octobre 2016 - Agissez, diffusez l’information!

En 2016, l’ASVI a déjà organisé et co-organisé 6 récoltes de signatures en Suisse romande pour deux causes qui lui sont chères: proscription du voile des fillettes à l’école, interdiction de se dissimuler le visage derrière une burqa ou un niqab.

Sur le plan quantitatif, ces opérations ont été un succès:

- près d’un millier de signatures ont été récoltées,

- l’initiative valaisanne contre le voile à l’école a abouti,

- l’initiative anti-burqa est bien partie.

Cependant, ceux qui sont allés sur le terrain au contact de la population ont constaté avec inquiétude l’existence d’un fossé intergénérationnel quand il s’agit de se positionner sur la question des signes visibles de l’islam dans l’espace public. Nos ainés sont majoritairement opposés à toutes les manifestations islamiques ostentatoires dans notre société et signent volontiers nos listes. Ils expriment souvent leur exaspération envers les reculades de nos dirigeants devant l’islam conquérant.

Malheureusement, les générations plus jeunes sont moins souvent prêtes à soutenir des causes que la plupart des partis politiques, la totalité des grands médias francophones, l’Ecole, l’Université et la grande majorité des intellectuels associent à tort au «racisme anti-musulman».

Le lavage de cerveau des propagandistes pro-multiculturalisme islamophiles que nos concitoyens ayant le moins de recul ont subi depuis plusieurs décennies a produit cette divergence dans la perception du danger que représente l’islam.

Que se passera-t-il quand nos lucides et courageux seniors, tels l’infatigable Philippe Boehler, le tenace François Brélaz et notre pugnace présidente Mireille Vallette ne seront plus là pour nous inciter à la vigilance? La population suisse sera-t-elle alors à ce point lobotomisée par la bienpensance qu’il sera vain de chercher à obtenir son soutien pour lutter contre l’islamisation de notre pays?

Afin d’empêcher qu’un tel avenir se mette en place, les islamocritiques doivent inlassablement s’employer à déconstruire le mythe grotesque de l’islam RATP (Religion d’Amour, de Tolérance et de Paix), véhiculé par la Suisse institutionnelle contre l’intérêt de la Suisse réelle. Profitons de l’internet qui permet de faire circuler l’information et nous aide à documenter les preuves accablantes du caractère liberticide et antidémocratique du dogme et des mœurs islamiques! Ces preuves s’accumulent sur les sites de réinformation comme le nôtre et commencent à influencer l’opinion publique.

Le rôle principal de l’ASVI est d’informer la population romande sur ce qu’est vraiment l’islam en démystifiant le discours officiel mensonger. Mais seuls, nous ne réussirons pas à rétablir la vérité sur la violence et l’inhumanité sacralisées de Mahomet. Nous avons besoin de vous, adhérents, sympathisants, lecteurs, pour lutter contre les contrevérités de la RTS et des journaux. C’est la raison pour laquelle nous vous demandons de transmettre à vos proches, amis et connaissances les informations et analyses que vous trouvez sur notre site. Contribuez à ouvrir les yeux à tous vos concitoyens pour combler ce fossé entre les générations!

31 octobre 2016 - «Nous étions les rois du monde! Et soudain…»

Une après-midi au Musée des illusions de l’islam.

En fin de compte, avons-nous eu raison de tant protester à propos du Musées des civilisations de l’islam de la Chaux-de-Fonds? Oui, car la pression sociale a empêché les initiateurs de présenter une vision hyper orthodoxe du sujet. Mais non, car pour compenser, les promoteurs utilisent quelques subtiles tactiques destinées à démonter les critiques les plus fréquentes.

Par exemple, l’affirmation que l’islam produirait «des civilisations islamiques». Des cultures on veut bien, des civilisations, seul le MUCIVI semble le penser. On a beau dire, on a beau faire, l’islam et sa monumentale jurisprudence sont parfaitement semblables partout. Et les «civilisations islamiques» sortent toutes de cette matrice.

«Au début était l’ignorance!», rappelle l’audioguide en début de parcours. Cette affirmation capitale de l’islam a toujours signifié: avant nous, avant la révélation, il n’y avait rien de valable. Cette conviction a été à l’origine de la disparition de riches cultures et de multiples destructions. Mais là encore, on rectifie: car avant la révélation, il existait une merveilleuse poésie. C’est un peu mince.

Rien à faire dans les trois premières salles qu’à écouter le récit super bref de la naissance de l’islam version orthodoxe. Avec néanmoins une étonnante découverte. Pour tenter de contrer le sentiment de plus en plus répandu d’un islam littéraliste, figé, dont la lettre comprend nombre de violences, de sexisme et d’inégalités, les ordonnateurs du musée nous font part d’une nouvelle révélation: chaque verset du Coran comprend 7 sens implicites en plus du sens explicite. Huit sens à découvrir! Environ 50 000 en tout si l’on additionne les versets! Après une petite recherche, je conclus que les muséographes mélangent délibérément les «sens» et les «lectures», ce dernier concept échappant à la totalité des musulmans de base.

Les conquêtes. Rien n’est dit sur le perpétuel état de guerre que provoquent les adeptes du prophète pour étendre leur domination. Vers 800, l’empire musulman atteint son apogée territorial. Selon le récit musulman, s’ouvrent alors 5 ou 6 siècles de bonheur, les populations étant toutes enchantées de l’occupation qu’elles subissent. Pour se convaincre de cette époque merveilleuse, la salle 4 nous accueille. Elle fait la fierté des visiteurs mahométans.

Elle énumère des inventions et découvertes de philosophes et savants musulmans durant «L’Âge d’or» qui comprend notamment l’occupation de l’Espagne. Le visiteur active manuellement des professeurs-spécialistes grandeur nature qui lui détaillent telle ou telle découverte. Peter Pormann par exemple (uni de Manchester) déclare: «Les savants musulmans ont développé et corrigé l’arithmétique grecque». Mais qui nous dit que l’islam a quelque chose à voir là-dedans sinon qu’il… n’a pas empêché ce progrès? Sans compter que le plus souvent, les scientifiques du monde musulman ont repris et perfectionné des inventions de savants du monde gréco-romain et des civilisations conquises, comme le montre entre autres Sylvain Gouguenheim.*

Cette confusion entre foi, raison, science, connaissance est typique de l’islam. Un bref regard sur les sociétés musulmanes aujourd’hui rappelle cette évidence: plus l’islam imprègne une société, moins les découvertes scientifiques et les progrès moraux sont riches. Les concepteurs du musée ne pouvaient dire cette vérité sans être exécutés.

A la salle 5, patatras, le château s’écroule! «Nous étions les rois du monde! rappelle l’audioguide. Le monde enviait notre sagesse. Et soudain, tout vole en éclats! Et aujourd’hui, qu’avons-nous fait de notre civilisation?… Nos esprits sont sclérosés. Nous regardons le monde avec envie.»

Belle autocritique. Mais question sclérose, les communautés musulmanes dont l’association de Nadia Karmous, directrice du musée, se posent un peu là. Elles sont incapables d’avoir le moindre regard critique sur leurs textes et de prendre en compte les découvertes historiques qui expliquent comment ils ont été produits.

La dernière salle propose une série de mini-vidéos de personnes grandeur nature, de tous horizons et habillements. Le foulard est presque absent. Nos interlocuteurs nous regardent dans les yeux. Impressionnant de réalisme. Message subliminal: «Nous sommes multiples et semblables, pas de quoi avoir peur.» Messages de l’audioguide: «Il appartient à chaque musulman de vivre sa foi selon ses choix et sa propre conscience.» «La présence de musulmans dans tous les pays du monde laisse présager un islam diversifié et pluriel.» Liberté? Pluralité? On les cherche en vain en Occident. L’affirmation est proche de l’incantation.

Ce qui est suggéré tout au long de cette petite balade: l’universalité de l’islam, la respectabilité de l’islam, la diversité de l’islam, la souplesse de l’islam. Sauf que l’histoire passée et présente de l’islam contredit singulièrement cette idyllique approche.

La muséographie est très moderne, mais sans âme. Montrer la diversité des cultures d’islam depuis 14 siècles en 6 petites salles, sans objets, uniquement avec des astuces techniques, est un vaste défi. Il est raté.

octobre 2016

*«Aristote au Mont Saint-Michel », 2008

 

Lire aussi les impressions d'un enseignant neuchâtelois: Le MUCIVI de la Chaux-de-Fonds, vitrine anesthésiante de l'islam radical

 

4 septembre 2018 - L'escroquerie intellectuelle d'Esther Benbassa 

La sénatrice écologiste française Esther Benbassa était interviewée par la Tribune de Genève, le 25 août 2016. S'exprimant sur les interdictions du burkini sur des plages françaises, elle déclare entre autres « Dans les années trente, on a fait la même chose avec les juifs ».

Voilà une personne passée maître dans l'art de faire dire aux faits ce qui arrange son argumentaire vicieux, truffé d'incohérences et de non-sens.

 Lorsqu'elle compare l'ostracisme supposé des femmes musulmanes au prétexte du burkini avec la chasse faite aux juifs, elle oublie qu'entre le burkini utilisé comme revendication identitaire ou levier politique et l’ ignoble mise en évidence que fut l'étoile jaune, le premier est un choix, une revendication, alors que la deuxième fut une contrainte destinée à isoler des êtres qui n'aspiraient qu'à l'intégration et l'assimilation au sein des peuples où ils vivaient.  Comparer les deux est une honte intellectuelle et morale, une preuve d'imbécillité invraisemblable, inqualifiable même. 

 Comment peut-on donner la parole aujourd'hui à des personnes aussi stupides et dangereuses? Car dans ce genre de comparaisons biaisées sciemment ou non, nombre de crétins s'engouffrent à plaisir pour faire preuve de leur agilité à penser moderne en jonglant avec de tels concepts!  

Je suis ulcéré de lire encore et toujours ces inepties à répétition sans que la parole soit vraiment et largement donnée dans nos médias à des propos sensés et contradictoires. La victoire des terroristes se mesure non seulement en termes de victimes physiques mais aussi morales et intellectuelles, la peur engendrant des lâchetés et des démissions dont ils font leurs choux gras!

Henri

4 septembre 2016 - Swissinfo sur la déchéance de nationalité: où est passée la neutralité journalistique?

Cet article traite de manière exhaustive du problème mais ne peut s'empêcher d'instiller le doute dans la tête du lecteur en glissant un mensonge éhonté. La déchéance de nationalité n'est absolument pas une atteinte à l'Etat de droit. Cette mesure a toujours été prévue depuis qu'il existe des Etats, plus précisément à l'encontre d'individus qui causent du tort à l'Etat dont ils ont acquis la nationalité, c'est-à-dire de ceux que l'on osait appeler autrefois des traîtres.  Il n'y a pas un droit à acquérir la nationalité d'un Etat autre que le sien en droit international. Certes, sous la pression des ONG, Amnesty International en tête, on en est arrivé à considérer ce qui peut être concédé par un Etat comme un droit.

Camille

19 septembre 2016 - J'aimerais qu'on m'explique...

Si l’islam est une religion de paix et de tolérance, pourquoi a-t-il été imposé par les armes à la péninsule arabique (auparavant polythéiste, chrétienne et juive), à la Syrie (chrétienne), au Liban (chrétien), à l’Irak (chrétien et polythéiste), à la Perse (zoroastrienne), à l’Égypte (chrétienne), au Maghreb (polythéiste et chrétien), à la Turquie (chrétienne), au Kosovo (chrétien), à la Bosnie (chrétienne) etc., etc.…? Et pourquoi les musulmans militants sont-ils si fiers de ces conquêtes et si horrifiés par la colonisation?

Laurence

Jeannine

30 septembre 2016 - Démocratie en danger de mort!

Si nous ne prenons pas de mesures rapides et drastiques, notre démocratie ressemblera bientôt à Palmyre...

Toute démocratie s'appuie sur un pré-requis de culture et d'éducation que la tendance actuelle étrangle notamment en France par Najat Vallaud Belkacem et médias interposés.

Le formatage de la pensée "juste" dont la télé et les principaux  journaux se font le relais sculpte jour après jour notre mental à accepter l'abandon progressif de notre libre-arbitre, de notre capacité de recul et partant, de notre sens critique.

Cette entreprise tous azimuts de sape systématique de notre patrimoine culturel grignote petit à petit un à un les piliers du monument socio-historique européen afin de le ruiner, de le réduire en poudre. De cette poudre, les fous d'Allah veulent cimenter un monde nouveau, fait de minarets et de dogmes mortifères... 

Pieds et mains empêtrés dans le filet de nos scrupules droit-de-l'hommistes, nous assistons, aussi impuissants que dans le pire de nos cauchemars, à la déconstruction de nos valeurs si chèrement acquises. Une honte dont le prix sera payé, si nous ne parvenons pas à en inverser le cours, par nos enfants, et surtout par nos filles.

Il est grand temps d'enlever ces pantoufles au silence si assourdissant, et d'aller pieds nus, s'il le faut, frapper le macadam et d'opposer à la criminalité de tels concepts d'autres idées dont la lumière dissipera l'ombre islamique rampante et en révélera toute la pernicieuse réalité.

Mais qui s'y colle?...

Henri

ANALYSE L’Autriche et sa lutte contre la radicalisation

L’Autriche a su prendre des mesures strictes 

L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.

Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :

- Surveillance électronique
- Renforcement des outils permettant de déchoir de la nationalité autrichienne les individus condamnés pour terrorisme et détenant la nationalité d’un pays tiers
- Retrait de certaines aides sociales ainsi que du permis de conduire...