Que voulons-nous?

Que faire pour stopper le radicalisme musulman en Suisse?

 

Nous sommes une association non violente qui œuvre à informer sur la nature de l’islam et à lutter contre son expansion en Suisse. Nous voulons veiller tout particulièrement à repérer et combattre l’influence des Frères musulmans et des salafistes. Voici ce que nous préconisons.

 

 

 I. Exiger des responsables religieux

 

  • une prise de position claire sur les versets du Coran (notamment le premier, la Fatiha) et les actes et paroles de Mahomet (hadiths) qui affirment que tous les non-musulmans sont condamnés à l’enfer, qui incitent à les harceler, les convertir, voire les tuer, qui discriminent les femmes, etc.

 

  • l’interdiction des discours violemment antioccidentaux et antidémocratiques qui empêchent les musulmans de s’intégrer en Suisse et incitent au rejet des non-musulmans.

 

  • la reconnaissance des valeurs humanistes et démocratiques, soit:
  • liberté d’expression: il faut affirmer que le droit de soumettre à la critique ou de se moquer des religions est un acquis démocratique que les musulmans doivent accepter comme tout un chacun.
  • liberté religieuse c’est-à-dire aussi la liberté de quitter l’islam. Nous voulons aussi la fin de l’obligation faite aux hommes non musulmans de se convertir à l’islam quand ils épousent une musulmane, et la fin de l’obligation d’être musulman faite aux enfants de père musulman.
  • égalité entre hommes et femmes, dont mixité, avec incitation des mosquées à cesser de pratiquer la ségrégation dans leurs cours, conférences, débats, etc.

Pour s’assurer que cela est respecté:

- Les prêches doivent être prononcés dans une langue nationale et régulièrement examinés par le Service de renseignement de la Confédération. Les organisations ne prêchant pas la haine des non-musulmans n’auraient pas à en souffrir, les autres devraient être interdites et leurs imams poursuivis d’office pour incitation à la haine, puis expulsés lorsqu’ils sont étrangers.

- Les financements étrangers de l’islam en Suisse doivent être interdits. La Confédération doit avoir accès à la comptabilité des mosquées et pouvoir identifier leurs donateurs.

- Les mosquées contrevenantes doivent être fermées.

 

II. Refondre notre système d’intégration en le basant sur la valorisation de notre culture, de nos libertés, de l’égalité des sexes, races et religions.

Expliquer clairement aux musulmans qui arrivent en Suisse qu’ils vivront dans une société leur accordant des droits et des libertés qu’aucun pays islamique n’a jamais concédés à sa population, et que ces droits entrainent également des devoirs de respect envers la Suisse.

Leur apprendre qu'il leur sera nécessaire, le cas échéant, d’abandonner des principes que certains considèrent comme faisant partie de leur identité, par exemple la discrimination des femmes ou le rejet des non-musulmans ceci afin de vivre harmonieusement dans leur nouveau pays. Nous voulons que les nouveaux arrivants apprennent qu’ils devront s’adapter au mode de vie suisse et qu’il n’est pas question de demander à la Suisse de s’adapter à l’islam.

 

III. Revoir le droit d'asile afin qu'il ne puisse plus servir à accueillir en Suisse des islamistes, des Frères musulmans, des salafistes, ou autres ennemis de notre société.

 

IV. De l’Etat, des institutions qui en dépendent ainsi que des entreprises publiques et privées, nous attendons le refus des revendications qui remettent en question le caractère séculier de notre société, soit:

  • foulards à l'école, à l’université et au travail
  • nourriture consacrée dans les écoles, les hôpitaux ou tout autre lieu public
  • salles de prière dans les collectivités et lieux publics
  • demandes de non mixité dans les espaces publics comme par exemple les piscines
  • exigences que des femmes soient soignées par des femmes
  • demandes de dispenses scolaires pour cours de natation, de biologie, ou pour les camps scolaires
  • ramadan pour les professionnels qui ont charge de personnes (adultes ou enfants). Par ailleurs, son éventuelle pratique doit être encadrée, de sorte que les collègues n’aient pas à assumer le travail des jeûneurs. Les entreprises doivent être autorisées à l’interdire.

 

Des sanctions doivent être prévues en cas de non-respect de tous ces points.

 

Si nécessaire, il faut modifier certains textes juridiques, voire les constitutions (fédérale et cantonales), afin entre autres qu'ils ne puissent plus être utilisés pour exiger des faveurs contraires à leur but initial.

 

Précision:

Pourquoi voulons-nous que l’islam, ses mosquées et ses imams soient contrôlés par les autorités, sans exiger la même chose pour les autres religions? Parce qu’aucune d'entre elles ne commet de crimes au nom de ses textes. Ainsi, on n’observe pas des chrétiens ou des juifs se faire exploser au milieu d’innocents au nom de la Bible ou des Evangiles. Parce qu’on n’observe pas de jeunes chrétiens ou juifs aller assassiner et torturer au nom de leur croyance (le djihad est d’ailleurs un terme et une injonction exclusivement islamiques). Parce que dans les pays où leur religion est majoritaire, chrétiens et juifs ne persécutent pas leurs minorités. Parce que chrétiens et juifs ne tentent pas de faire accepter à notre société par d’innombrables revendications rétrogrades des valeurs qui lui sont contraires. Parce que chrétiens et juifs ne nient pas les contenus discutables, voire violents de leurs textes. Parce que chrétiens et juifs ont évolué, contrairement aux dévots musulmans qui s’accrochent à des textes millénaires misogynes, haineux et discriminatoires. Parce que l’islam, davantage qu’une religion, est un système politico-juridique d’oppression et de conquête.

Ce sont donc bien l’islam, ses religieux et leurs fidèles qui posent problème. Des problèmes qui vont ou qui iront, si les démissions se poursuivent, jusqu’à la mise en jeu de notre liberté et de notre sécurité.

 

 

ANALYSE L’Autriche et sa lutte contre la radicalisation

L’Autriche a su prendre des mesures strictes 

L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.

Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :

- Surveillance électronique
- Renforcement des outils permettant de déchoir de la nationalité autrichienne les individus condamnés pour terrorisme et détenant la nationalité d’un pays tiers
- Retrait de certaines aides sociales ainsi que du permis de conduire...