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L'ASVI va élire son "Dhimmi d'or" 2018 parmi trois personnalités poitiques suisses 

Les trois personnes mentionnées ci-dessous ont été nominées par le comité de l’ASVI comme candidats au titre de «Dhimmi d’or 2018», distinction déshonorante qui désigne une personnalité suisse pour sa contribution active à l’islamisation de notre pays durant l'année passée.

Lors de la prochaine assemblée générale, nos membres pourront voter pour le "Dhimmi d’or" 2018 de leur choix. Le lauréat recevra le dernier livre de Mireille Vallette, Le radicalisme dans les mosquées suisses. Cet ouvrage lui permettra de se documenter sur la domination par les extrémistes de la plupart des mosquées de Suisse, ainsi que sur leur prosélytisme visant à construire une contre-société hostile à nos valeurs.

1- Carlo Sommaruga, conseiller national socialiste du canton de GenèveCS rts.png

Raison du choix : Carlo Sommaruga refuse de voir dans la burqa un symbole de l’oppression de la femme par l’islam. Il a déclaré en 2018: «Imposer notre vision de l’égalité est l’expression d’un féminisme colonial. De quel droit les Occidentaux peuvent-ils décider de la manière de s’habiller de personnes issues de cultures différentes et qui vivent en Suisse librement?» 

2- Simonetta Sommaruga, conseillère fédérale socialiste

Raison du choix: Simonetta Sommaruga s'est évertuée à mettre sur pied en 2018 un contre-projet à l'initiativeSSo Dr.png visant à l’interdiction de se dissimuler le visage (dite aussi initiative anti-burqa), et ceci dans le seul but de faire échouer l'initiative. Tout comme Carlo Sommaruga, elle refuse d’interdire la burqa au prétexte que les femmes doivent pouvoir s’habiller comme elles le souhaitent, refusant ainsi de reconnaitre que ce vêtement-prison est un symbole de soumission et d’aliénation.

3- Guy Parmelin, conseiller fédéral UDC
GP Dr
Raison du choix: Guy Parmelin a autorisé en 2018 le port du voile islamique, symbole le plus em
blématique du prosélytisme musulman, dans l’armée suisse. Bien qu’appartenant à l’UDC, il a lui aussi fait acte de soumission face à l’islam conquérant.

 

 


ANALYSE L’Autriche et sa lutte contre la radicalisation

L’Autriche a su prendre des mesures strictes 

L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.

Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :

- Surveillance électronique
- Renforcement des outils permettant de déchoir de la nationalité autrichienne les individus condamnés pour terrorisme et détenant la nationalité d’un pays tiers
- Retrait de certaines aides sociales ainsi que du permis de conduire...