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16 décembre 2017 - Jérusalem ou le syndrome du coucou

Déclarer que Jérusalem est la capitale d’Israël devrait relever d’un simple test de géographie du niveau d’école primaire. Pourtant, mise dans la bouche d’un des hommes les plus puissants du monde, cette évidence devient un défi, une insulte, voire une déclaration de guerre!

Pourquoi tant de haine?

Il faut relever que les musulmans, ou plus précisément ceux qui suivent les préceptes coraniques, ont une fâcheuse tendance à s’approprier les biens d’autrui, que ceux-ci soient physiques - trésors de guerre, butins, pillages, humains - mise en esclavage d’hommes, femmes et enfants, ou encore géographique – conquêtes de territoires. L’histoire regorge d’exemples: de la Perse à l’Afrique du Nord et l’Espagne, de l’Inde à la Malaisie en passant par l’Indonésie, le processus se répète et se propage selon la volonté du prophète dont le but suprême est l’établissement de l’islam sur toute la planète.

Ainsi, à l’instar du coucou qui pratique le cleptoparasitisme, les soldats d’Allah n’auront de cesse de guerroyer jusqu’à l’appropriation de la moindre parcelle de souveraineté partout dans le monde.

Souvenons-nous de la guerre du Kosovo. Cette province serbe a accueilli une forte immigration albanaise musulmane. Celle-ci s’est montrée de plus en plus vindicative, une guerre a éclaté et l’indépendance du Kosovo a été déclarée de manière unilatérale, sans aucune base légale. Micheline Calmy-Rey l’a applaudie tout en accueillant en Suisse de très nombreux réfugiés de guerre. Aujourd’hui, le Kosovo est un Etat musulman albanophone rongé de violence et de corruption.

Le minuscule Etat d’Israël et ses 8 millions d’habitants est de trop pour le monde musulman fort de 1’700'000’000 âmes, il leur faut la souveraineté sur ce lopin de terre aride plus petit que la Suisse.

La modeste Jérusalem, cité biblique des rois David et Salomon, citée plus de 700 fois dans la Bible et pas une seule dans le Coran, deviendrait subitement, avec la complicité de l’UNESCO, un haut lieu de l’islam. Difficile à croire lorsque l’on voit les fidèles mahométans y prier, le postérieur pointé en direction du mont du Temple (en signe de mépris?) et la tête orientée vers la Mecque.

Que nos idiots utiles de l’islam qui hurlent avec les djihadistes ne s’y trompent pas: une fois Jérusalem conquise, ils voudront l’Andalousie, ils voudront Rome, et Paris, Londres et Berlin.

Que ceux qui pensent qu’en faisant des concessions ils seront récompensés, qu’en trahissant l’Etat juif ils gagneront la paix en Europe sortent la tête du sable compassionnel où elle s’égare: leur sort sera le même que celui de tous les soumis, le statut humiliant de dhimmi.

Que ceux qui pensent que l’on gagne les guerres avec des ripostes « proportionnées », des apaisements et des processus de paix apprennent, au prisme de l’histoire, que les salamalecs n’ont pas attendri le cœur de ces farouches guerriers qui ne craignent que le feu de l’enfer.

Alors si nous voulons garder Berne, capitale d’une Suisse dont le drapeau porte une croix, soutenons Jérusalem capitale d’Israël.

ANALYSE L’Autriche et sa lutte contre la radicalisation

L’Autriche a su prendre des mesures strictes 

L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.

Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :

- Surveillance électronique
- Renforcement des outils permettant de déchoir de la nationalité autrichienne les individus condamnés pour terrorisme et détenant la nationalité d’un pays tiers
- Retrait de certaines aides sociales ainsi que du permis de conduire...