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5 novembre 2017 - La différence entre l’islam et les autres religions

Ceux qui relativisent répètent "toutes les religions..." et veulent nous faire accepter l'islam à l'université, à l'armée, à l'école.

Ceux qui relativisent espèrent nous faire croire qu'avec un peu de patience, l'islam va devenir inoffensif comme l'est aujourd'hui le christianisme, après des siècles de violence. 

On pourrait donc reconnaître l'islam et l'enseigner à l'université, puisque l'islam s'apprêterait à suivre le même chemin que nous. 
Or c'est intrinsèquement impossible. 

Dans l'Ancien Testament, la violence se raconte dans des histoires, tout comme il y a de la violence dans l'histoire de Genève (l'Escalade), ou dans l'histoire en général. 
La violence est abolie par les Evangiles "Vos pères vous ont appris que... mais moi je vous dis que..." ou par l'histoire de la femme adultère qui abolit la lapidation. La Bible a pour auteurs des hommes, ils donnent leur vision, ou leurs souvenirs des évènements, ce n'est pas Dieu en personne qui parle. Les seules paroles censées venir directement de Dieu lui-même sont les dix commandements, et ils contiennent "Tu ne tueras point". 
Sans exception.

A contrario, dans l'islam, il y a toujours un "sauf" ou un "mais". 

Dans le Coran, tous les versets sont censés venir d’Allah lui-même, la violence ne se trouve pas dans des histoires (il y en a très peu, plutôt des références à des histoires), elle se trouve dans des injonctions censées être valables pour l'éternité. 

Ainsi on ne peut pas s'en sortir, puisque ces ordres demandent clairement de combattre à mort les mécréants jusqu'à ce que l'islam ait conquis toute la terre. 

J'aime bien les religions (j'aime la ferveur), j’en ai fréquenté plusieurs à un moment ou à un autre de ma vie. L'islam est bien la seule "religion" qui ordonne de tuer. Je mets "religion" entre guillemets parce que pour moi, ces appels à la haine et au meurtre font que ce n'est pas une religion, mais une idéologie totalitaire déguisée en religion (elle utilise justement la ferveur des religions). 
Les autres religions ont peut-être leurs défauts, mais aucune n'appelle au meurtre. 

Il se trouve que pendant des siècles, les gens au Maghreb et au Moyen orient étaient illettrés. Ils ne pouvaient pas lire le Coran et de toute façon ne parlaient pas l'arabe classique. Ils retenaient juste des grandes lignes :  ne pas manger de porc, ne pas boire d'alcool, ne pas critiquer l'islam, etc.… mais ne connaissaient pas sérieusement le contenu du Coran. 
L'islam avait été imposé à leurs ancêtres par la violence, la conversion ou la mort. Ils n'ont pas eu le choix, mais avec le temps ils ont essayé de vivre tant bien que mal avec cette religion obligatoire.  Ainsi ceux qui nous parlent de " l'islam pacifique de grand-papa" sont sincères. 
Sauf que cet islam n'existait que parce que grand-papa était illettré et ne connaissait pas la signification des versets du Coran qu'il psalmodiait
Maintenant que les gens ont appris à lire, que le Coran est traduit, ils peuvent lire le Coran et ça devient vraiment grave. 

Quand la Bible a été traduite et que l'imprimerie a permis sa diffusion, les inquisiteurs ont finalement perdu leur pouvoir parce que tout le monde a pu lire que le message des Evangiles ce n'était pas les bûchers et les assassinatsC'est l'inverse avec le Coran : maintenant qu'il est traduit, et que les gens ont été alphabétisés, tout le monde peut lire que le message du Coran c'est le meurtre. 
La plupart des gens nés sous l’islam ont trop d'orgueil pour admettre qu'ils ont été abusés, alors ils s'enfoncent dans "l'islam c'est pas ça". 

Et d'autres suivent les ordres qu'ils lisent. 
Et d'autres se posent des questions... 

Natacha

ANALYSE L’Autriche et sa lutte contre la radicalisation

L’Autriche a su prendre des mesures strictes 

L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.

Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :

- Surveillance électronique
- Renforcement des outils permettant de déchoir de la nationalité autrichienne les individus condamnés pour terrorisme et détenant la nationalité d’un pays tiers
- Retrait de certaines aides sociales ainsi que du permis de conduire...