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31 octobre 2016 - Agissez, diffusez l’information!

En 2016, l’ASVI a déjà organisé et co-organisé 6 récoltes de signatures en Suisse romande pour deux causes qui lui sont chères: proscription du voile des fillettes à l’école, interdiction de se dissimuler le visage derrière une burqa ou un niqab.

Sur le plan quantitatif, ces opérations ont été un succès:

- près d’un millier de signatures ont été récoltées,

- l’initiative valaisanne contre le voile à l’école a abouti,

- l’initiative anti-burqa est bien partie.

Cependant, ceux qui sont allés sur le terrain au contact de la population ont constaté avec inquiétude l’existence d’un fossé intergénérationnel quand il s’agit de se positionner sur la question des signes visibles de l’islam dans l’espace public. Nos ainés sont majoritairement opposés à toutes les manifestations islamiques ostentatoires dans notre société et signent volontiers nos listes. Ils expriment souvent leur exaspération envers les reculades de nos dirigeants devant l’islam conquérant.

Malheureusement, les générations plus jeunes sont moins souvent prêtes à soutenir des causes que la plupart des partis politiques, la totalité des grands médias francophones, l’Ecole, l’Université et la grande majorité des intellectuels associent à tort au «racisme anti-musulman».

Le lavage de cerveau des propagandistes pro-multiculturalisme islamophiles que nos concitoyens ayant le moins de recul ont subi depuis plusieurs décennies a produit cette divergence dans la perception du danger que représente l’islam.

Que se passera-t-il quand nos lucides et courageux seniors, tels l’infatigable Philippe Boehler, le tenace François Brélaz et notre pugnace présidente Mireille Vallette ne seront plus là pour nous inciter à la vigilance? La population suisse sera-t-elle alors à ce point lobotomisée par la bienpensance qu’il sera vain de chercher à obtenir son soutien pour lutter contre l’islamisation de notre pays?

Afin d’empêcher qu’un tel avenir se mette en place, les islamocritiques doivent inlassablement s’employer à déconstruire le mythe grotesque de l’islam RATP (Religion d’Amour, de Tolérance et de Paix), véhiculé par la Suisse institutionnelle contre l’intérêt de la Suisse réelle. Profitons de l’internet qui permet de faire circuler l’information et nous aide à documenter les preuves accablantes du caractère liberticide et antidémocratique du dogme et des mœurs islamiques! Ces preuves s’accumulent sur les sites de réinformation comme le nôtre et commencent à influencer l’opinion publique.

Le rôle principal de l’ASVI est d’informer la population romande sur ce qu’est vraiment l’islam en démystifiant le discours officiel mensonger. Mais seuls, nous ne réussirons pas à rétablir la vérité sur la violence et l’inhumanité sacralisées de Mahomet. Nous avons besoin de vous, adhérents, sympathisants, lecteurs, pour lutter contre les contrevérités de la RTS et des journaux. C’est la raison pour laquelle nous vous demandons de transmettre à vos proches, amis et connaissances les informations et analyses que vous trouvez sur notre site. Contribuez à ouvrir les yeux à tous vos concitoyens pour combler ce fossé entre les générations!

ANALYSE L’Autriche et sa lutte contre la radicalisation

L’Autriche a su prendre des mesures strictes 

L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.

Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :

- Surveillance électronique
- Renforcement des outils permettant de déchoir de la nationalité autrichienne les individus condamnés pour terrorisme et détenant la nationalité d’un pays tiers
- Retrait de certaines aides sociales ainsi que du permis de conduire...