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Cette pétition mise en ligne sur change.org en automne 2017 a recueilli plus de 770 signatures. 

Pour des colloques critiques envers l’islam et ses activistes!

Mireille Vallette Genève, Suisse

L’Association suisse vigilance islam (ASVI) et les signataires de cette pétition réclament au Centre suisse islam et société (CSIS) et à la Commission fédérale contre le racisme (CFR) d’organiser des colloques et séminaires qui traitent de leurs préoccupations et pas seulement des plaintes et préoccupations des pratiquants musulmans.

Personne ne peut ignorer que de très nombreux citoyens sont inquiets de l’expansion continue de l’islam. Nous observons des pratiques et revendications alarmantes : couverture de femmes et même d’écolières par des voiles, foulards, burkinis, burqas ; prières dans les entreprises et écoles, rites alimentaires, etc. Ces demandes dévotes remettent en question les valeurs de notre société et son caractère séculier.

Comme beaucoup de citoyens de notre pays, nous sommes nombreux à prendre la peine de lire des textes fondamentaux de l’islam et constatons leur intolérance, leur misogynie et la violence à laquelle ils incitent. Nous aimerions que le CSIS et la CFR organisent des événements qui permettent l’expression de ces constats, et ceci avec la participation d’ex-musulmans qui portent un regard critique sur l’islam et ses représentants.

Les dizaines de milliers attentats commis par des musulmans au nom de l’islam depuis le 11 Septembre, l’absence de liberté de religion dans tous les pays musulmans, les régimes qui s’inspirant de la charia sanctionnent les «transgresseurs» par des tortures telles que le fouet, tout cela nous conduit à contester fermement l’affirmation d’une absence de lien entre ces régimes liberticides, ces violences et l’islam.

Or, le CSIS et la CFR écrivent des rapports et organisent des événements exclusivement consacrés à des problèmes ressentis et dénoncés par des musulmans, événements qui sont par ailleurs financés par nous aussi, citoyens critiques. Exemple du thème mis à l’ordre du jour du 11 septembre 2017 : «Hostilité envers les musulmans: société, médias, politique». De plus, le choix de cette date pour exposer les plaintes des communautés musulmanes nous parait particulièrement choquant.

Au vu de ce qui précède, nous demandons instamment aux destinataires de cette pétition qu’ils organisent des journées de débats sur, par exemple, l’un ou l’autre des thèmes suivants :

  1. Pourquoi les pratiques revendiquées par les prosélytes musulmans posent-elles problème à de nombreux citoyens de Suisse non-musulmans?
  2. Quels défis rencontrent les services publics (écoles, hôpitaux, administration) et les entreprises face aux revendications musulmanes ? 
  3. Contenus de Coran et des hadiths: comment les imams abordent-ils le statut des femmes, la condamnation des autres religions, l’esclavage, l’apostasie, les châtiments corporels ?

Merci de signer seulement si vous résidez en Suisse!

ANALYSE L’Autriche et sa lutte contre la radicalisation

L’Autriche a su prendre des mesures strictes 

L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.

Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :

- Surveillance électronique
- Renforcement des outils permettant de déchoir de la nationalité autrichienne les individus condamnés pour terrorisme et détenant la nationalité d’un pays tiers
- Retrait de certaines aides sociales ainsi que du permis de conduire...