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  ISRAËL : 130 JOURS DEPUIS LE POGROM DU 7 OCTOBRE

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134 otages sont toujours retenus captifs à Gaza, quatre mois après les massacres. Personne n'a de nouvelles d'eux, d'elles à ce jour.

 

 

130 jours. Ceux qui comptent chaque jour qui les sépare d’un être cher sont arrivés à 130.

130 jours que le Hamas détient, au mépris des traités internationaux, au mépris de l’éthique militaire, au mépris de l’humanité, des civils, femmes et enfants compris.

Nous n’avons pas entendu beaucoup d’indignation parmi ceux qui pratiquent l’inversion accusatoire : ce serait Israël, le grand méchant Satan, qui commettrait un génocide, pas ceux qui ont provoqué le conflit en poussant à l’extrême les limites de la violence aveugle.

Qui s’est indigné que des civils soient détenus depuis plus de 130 jours ? Pas le CICR qui a refusé d’acheminer des médicaments. Pas Médecins sans frontières qui est occupé à accueillir les migrants aux Canaries. Pas l’ONU, ni le conseil de sécurité, ni la Commission des droits de l’homme, qui regardent ailleurs et passent plus de temps à criminaliser les victimes qu’à les défendre.

Il faut dire que le calcul arithmétique est simple. D’un côté, nous avons 57 pays musulmans comprenant 1 milliard 600 millions de ressortissants. De l’autre, un pays de 8 millions d’âmes au passé tragique.

Cela s’appelle la loi du plus fort, et cela nous confirme que de plus en plus de nations plient l’échine sous le sabre de Mahomet.

Résistons ! Disons non à l’islamisation qui gangrène le monde. Aujourd’hui c’est Israël qui est menacé de disparaître, demain ce sera l’Europe si nous laissons faire.

 

 

 

 

 

Al Andalus, l’invention d’un mythe de Serafín Fanjul. Editions de l’Artilleur, 2017

Serafín Fanjul, né en 1945, a milité au sein du parti communiste espagnol et dans des organisations antifranquistes avant d’embrasser une carrière de chercheur. Titulaire de la chaire de littérature arabe de l’Université autonome de Madrid, reconnu mondialement par ses collègues arabisants, il publie plusieurs ouvrages, dont Al Andalus contre l’Espagne et La chimère d’Al Andalus, tous deux groupés dans le présent opus.

La domination arabo-musulmane de la péninsule s’étend de 711 au 2 janvier 1492, date de la chute de Grenade qui achève la reconquête (Reconquista). Elle aura duré 781 ans, soit près de huit siècles. La péninsule ne sera pas totalement dominée ; en effet, en 718, Pélage fonde le Royaume des Asturies et lance la résistance chrétienne ; en 722 il obtient une première victoire à Covadonga qui marque le début de la reconquête, faite d’avancées et de reculs, jusqu’en 1492. Serafín Fanjul analyse de manière approfondie, avec un luxe de détails, ce qu’il qualifie de mythe, à savoir la coexistence harmonieuse entre les trois religions monothéistes dans un espace nommé Al Andalus. Celui-ci n’est pas l’actuelle province d’Andalousie mais l’Espagne musulmane. A partir de la reconquête, le territoire d’Al Andalus se réduit progressivement jusqu’à ne plus comprendre que le Royaume de Grenade. La naissance du mythe naît à partir du XVIIIe siècle, tant parmi des écrivains et voyageurs espagnols qu’européens. La chute d’Al Andalus est décrite comme la destruction d’un Etat brillant et tolérant par des barbares venus du Nord. Ce phénomène d’autoflagellation s’exacerbe à la fin de la dictature franquiste, le catholicisme étant assimilé à la dictature. Des auteurs étrangers décrivent une Espagne soumise à l’emprise du catholicisme, un pays d’ignorants qui n’a rien produit alors qu’Al Andalus et sa brillante civilisation arabo-musulmane auraient illustré tous les arts et les sciences. On n’hésite pas à lui prêter des qualités de tolérance qui n’existait pas au Moyen Age, comme la liberté religieuse, absente tant du côté chrétien que musulman. Or les musulmans, comme ils l’ont fait partout ailleurs, pratiquent une politique de conversion volontaire ou par la force ; les chrétiens aussi ; ils la justifient par le fait que les Morisques (convertis de gré ou de force au catholicisme) agissent de concert avec les pirates qui des ports du Maghreb infestent la Méditerranée occidentale et menacent les ports du Levant espagnol.   

Le mythe d’Al Andalus sert les projets des bien-pensants qui, aujourd’hui, rêvent d’un islam européen tolérant. Mais la réalité a été tout autre. La coexistence entre chrétiens et musulmans dans Al Andalus est difficile dès le début de la conquête arabo-musulmane, puis devient insupportable et rapidement impossible. Pour ne pas parler du massacre de juifs ; lors du premier, en 1066 à Grenade, ils sont 4000 à tomber sous les coups des musulmans. Dans les faits le processus d’islamisation est important ; les minorités sont tolérées pour autant qu’elles se soumettent à la rigoureuse ségrégation en droit et dans les faits qui leur est appliquée dans tous les territoires conquis par l’islam (statut de dhimmi). Des auteurs s’autoproclamant spécialistes affirment que la langue arabe a influencé de manière déterminante le castillan ; or dans le langage courant d’aujourd’hui, seuls 450 mots utilisés proviennent effectivement de l’arabe. Bien moins que du français. Le flamenco est déclaré héritage arabe alors que cette danse est apparue il n’y a que deux siècles environ et n’est pratiquée nulle part ailleurs dans l’espace musulman. Quand l’ignorance le dispute à la mauvaise foi, le ridicule n’est jamais très loin. La perte de valeurs et l’inculture généralisée amènent à mettre sur le même pied l’étude fouillée d’un historien et les propos d’un rappeur qui, fier de lui, étale son ignorance dans des médias complaisants. Sous l’œil ravi des élites européennes.

Camille

Dossier

Les ambiguïtés du Centre suisse islam et société

Die Unklarheiten des Schweizerischen Zentrums für Islam und Gesellschaft

2 juin 2020 - Le CSIS, fondé en 2016 à l’université de Fribourg, promettait intégration, autocritique, connaissance de nos institutions et de notre droit. Dans un dossier d'avril 2020, Mireille Vallette montre par le biais de nombreux exemples qu’après quatre ans de généreuses subventions publiques et d’activisme forcené au côté de mosquées et associations minées par le fondamentalisme, ses actions témoignent au contraire d'une volonté de (ré)islamiser les musulmans et d'introduire l’islam dans tous les secteurs de la société.   

 

Lire le billet de Mireille Vallette "L’inquiétante œuvre d’islamisation du centre de Fribourg"

Télécharger le dossier "Le CSIS oeuvre-t-il vraiment à l'intégration des musulmans?" 

Brochure à télécharger

Dix ans de joutes contre l'islam conquérant

La Suisse aussi s’islamise ! L’offensive est menée par les prosélytes des mosquées avec l’appui de puissants alliés dont un centre financé par les pouvoirs publics. Au menu quotidien : tartufferies, intégrisme, démissions. Bilan intermédiaire, 2022.

 Illustr brochure Mi pour site



 

 

GENÈVE Pétition contre l'agrandissement d'une base des Frères musulmans aux Eaux-Vives

Non à l’agrandissement d’une base des Frères musulmans à Genève

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L'ASVI A DÉPOSÉ UNE PÉTITION AU GRAND CONSEIL GENEVOIS LE 3 JUIN 2021

Non à l’agrandissement d’une base des Frères musulmans à Genève

Mesdames et Messieurs les députés,

Le 5 novembre 2019, la Fondation Saïd Ramadan a obtenu l’autorisation de construire à la place du bâtiment actuel du Centre islamique de Genève (CIGE), au 104 rue des Eaux-Vives, un immeuble de plus de 900 m2 pour abriter ce même centre. Fondé en 1961 à Genève par Saïd Ramadan, le CIGE diffuse l’idéologie des Frères musulmans dans toute l’Europe. Son conseil de direction est constitué exclusivement de la famille Ramadan, dont font partie Tariq et Hani Ramadan, héritiers spirituels de leur grand-père Hassan al-Banna, lui-même fondateur de la confrérie des Frères musulmans en Egypte. Le CIGE est une base majeure de ce mouvement en Europe dont l’idéologie politico-religieuse vise à détruire les valeurs de la Suisse et de l’Occident, comme l’illustre la déclaration de son prédicateur de référence Youssef al-Qaradawi : « Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons, avec nos lois coraniques nous vous dominerons ». La confrérie est considérée comme organisation terroriste par plusieurs pays. Depuis 2017, Hani Ramadan est interdit de séjour en France pour comportements et propos faisant peser une menace grave sur l’ordre public. 

Les locaux actuels du CIGE hébergent déjà une mosquée, une bibliothèque et une salle de conférences. Le CIGE affiche dans ses statuts l’ambition « d’ouvrir à Genève et dans d’autres villes d’Europe des jardins d’enfants et des écoles pour enfants musulmans ». Il est évident que son agrandissement décuplerait sa capacité d’endoctrinement et, loin d’œuvrer pour l’intégration, la cohésion sociale et le vivre-ensemble, en ferait un vecteur encore plus puissant de séparatisme, de communautarisme et d’extrémisme.

Les signataires prient donc le Grand Conseil de renvoyer cette pétition au Conseil d’Etat afin que cette construction ne voie pas le jour.

Association Suisse Vigilance Islam


vidéo: livre "le radicalisme dans les mosquées suisses"

Islamisation, djihad culturel et concessions sans fin

Fribourg, Bâle , Berne, Lucerne, Genève... école, hôpital, piscine, cimetière, prison... Pourquoi et comment les fondamentalistes influencent-ils les institutions suisses? Quelle est la différence entre djihad culturel et islamisation?

Mireille Vallette interviewée sur son dernier livre paru aux éditions Xénia (avril 2017) - disponible chez Payot, Fnac (Suisse et France), Amazon et dans toutes les librairies.

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ANALYSE L’Autriche et sa lutte contre la radicalisation

L’Autriche a su prendre des mesures strictes 

L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.

Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :

- Surveillance électronique
- Renforcement des outils permettant de déchoir de la nationalité autrichienne les individus condamnés pour terrorisme et détenant la nationalité d’un pays tiers
- Retrait de certaines aides sociales ainsi que du permis de conduire...