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  ISRAËL : 130 JOURS DEPUIS LE POGROM DU 7 OCTOBRE

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134 otages sont toujours retenus captifs à Gaza, quatre mois après les massacres. Personne n'a de nouvelles d'eux, d'elles à ce jour.

 

 

130 jours. Ceux qui comptent chaque jour qui les sépare d’un être cher sont arrivés à 130.

130 jours que le Hamas détient, au mépris des traités internationaux, au mépris de l’éthique militaire, au mépris de l’humanité, des civils, femmes et enfants compris.

Nous n’avons pas entendu beaucoup d’indignation parmi ceux qui pratiquent l’inversion accusatoire : ce serait Israël, le grand méchant Satan, qui commettrait un génocide, pas ceux qui ont provoqué le conflit en poussant à l’extrême les limites de la violence aveugle.

Qui s’est indigné que des civils soient détenus depuis plus de 130 jours ? Pas le CICR qui a refusé d’acheminer des médicaments. Pas Médecins sans frontières qui est occupé à accueillir les migrants aux Canaries. Pas l’ONU, ni le conseil de sécurité, ni la Commission des droits de l’homme, qui regardent ailleurs et passent plus de temps à criminaliser les victimes qu’à les défendre.

Il faut dire que le calcul arithmétique est simple. D’un côté, nous avons 57 pays musulmans comprenant 1 milliard 600 millions de ressortissants. De l’autre, un pays de 8 millions d’âmes au passé tragique.

Cela s’appelle la loi du plus fort, et cela nous confirme que de plus en plus de nations plient l’échine sous le sabre de Mahomet.

Résistons ! Disons non à l’islamisation qui gangrène le monde. Aujourd’hui c’est Israël qui est menacé de disparaître, demain ce sera l’Europe si nous laissons faire.

 

 

 

 

 

Dhimmis d'Or 2015

Le terme "dhimmi" est un mot arabe désignant, dans les pays arabo-musulmans, le citoyen non musulman. S’appliquant essentiellement aux chrétiens et aux juifs, que les musulmans appellent aussi "gens du Livre", il les renvoie à leur condition subie d’infériorité de droit ou de fait. Il est exigé du dhimmi, gouverné par la peur et n’ayant pas d’autre choix, de témoigner régulièrement devant les musulmans de l’intériorisation de sa condition humiliante en se soumettant aux avanies que lois et coutumes islamiques ont prévues pour lui. Quant aux athées, polythéistes, animistes, hindouistes, bouddhistes, yézidis et autres, leur sort est encore moins enviable que celui des "gens du Livre" : leur existence en terre d'islam n'est tout simplement pas envisageable d'après le Coran.

En Suisse comme en Europe, la plupart de nos élites politiques, économiques, intellectuelles et médiatiques, sont devenues des dhimmis virtuels et volontaires à force de se plier aux exigences islamiques, lesquelles s’opposent pourtant à nos valeurs démocratiques. L’ignorance, la naïveté, la repentance, l’électoralisme, l’appât du gain, ou bien la lâcheté, expliquent ce comportement.

Si rien n’est entrepris pour faire prendre conscience à ces élites de leur irresponsabilité, l’islamisation de notre continent va s’accélérer et toute sa population connaîtra un jour la terrible servitude du statut de dhimmi réel.


Lauréat pour la Suisse :

Le Tribunal fédéral qui a invalidé l'interdiction du foulard islamique, signe de discrimination des filles et frein à l'intégration, par le cercle scolaire de St. Margrethen (canton de Saint-Gall)


Lauréate pour l’Europe :

Henriette Reker, la maire de Cologne, pour avoir dit que si les femmes allemandes veulent éviter d'être agressées sexuellement par les hommes musulmans, elles doivent « se tenir à une certaine distance qui est plus grande que la longueur d’un bras »

 

Nous n’avions que l’embarras du choix, tant le monde politique, médiatique et intellectuel fait preuve de servilité vis-à-vis de l'islam. Voici la liste des autres nominés …

… pour la Suisse :

- La députée PS/VD Cesla Amarelle
qui ne veut pas refuser l'asile aux terroristes islamistes

- La conseillère fédérale PS Simonetta Sommaruga qui veut accueillir plus de réfugiés

- La directrice de la Commission fédérale contre le racisme Martine Brunschwig-Graf (PLR) qui confond critique de l'islam et racisme, et qui ne voit ni violence ni discriminations dans le Coran

- Pascal Couchepin (PDC), ancien président de la Confédération, qui affirme que la Suisse n'a pas d'autre choix que d’accueillir encore plus de migrants, sachant pertinemment que la plupart sont musulmans
 

- Laurence Bézaguet, journaliste de la Tribune de Genève, qui prétend que les jeunes musulmans de Genève partant faire le djihad pour l'Etat islamique sont avant tout des humanistes
 

… et pour l'Europe :

- Matthew Henman, du centre londonien IHS Jane's 360, spécialisé dans les questions de défense, pour avoir prétendu que la France est «une cible... aussi en raison des mauvais traitements présumés et des discriminations contre la minorité musulmane dans le pays»

- L'Institut Montaigne pour avoir sous-entendu que la vague de terrorisme islamique ayant frappé la France en 2015 s'explique par les discriminations infligées aux musulmans dans l'Hexagone : «Quant aux cinq millions de musulmans qui vivent en France, ils souffrent de nombreuses discriminations, notamment à l'embauche»

- Raphaël Liogier, sociologue et professeur à l'université Sciences Po Aix pour avoir implicitement justifié les attaques des terroristes musulmans en France: « La France est le pays où il y a le plus de frustrations par rapport à ce débat sur l'islam (...). Ça rend désirable plus qu'ailleurs chez les jeunes d'entrer dans le processus d'embrigadement» (déclarations de M. Henmann, R. Liogier et l'Institut Montaigne dans cet article)

- La RATP devenue une entreprise publique française islamo-compatible

- La Vice-premier ministre suédoise Åsa Romson qui a le cœur brisé de ne pas pouvoir accueillir toute la misère musulmane du monde dans son ex-beau pays

 

Les deux lauréats ont été informés de notre choix et ont reçu comme prix un exemplaire du livre de Bat Ye'or «Juifs Et Chrétiens sous l'islam - Face au danger intégriste». Ce livre les instruira sur la condition humiliante des chrétiens et des juifs dans les pays musulmans à travers les âges. Nous espérons que cet ouvrage les fera réfléchir sur leur acceptation et intériorisation des inacceptables préceptes islamiques qui leur confère leur condition de dhimmi virtuel. 

 

Lettre à Gilbert Kolly, président du Tribunal fédéral, avec copie au vice-président, aux 37 juges fédéraux ainsi qu'à Simonetta Sommaruga, conseillère fédérale en charge du département de justice et police

 

Lettre à Henriette Reker, maire de Cologne, avec copie au service égalité homme-femme de la mairie de Cologne (version française)

Dossier

Les ambiguïtés du Centre suisse islam et société

Die Unklarheiten des Schweizerischen Zentrums für Islam und Gesellschaft

2 juin 2020 - Le CSIS, fondé en 2016 à l’université de Fribourg, promettait intégration, autocritique, connaissance de nos institutions et de notre droit. Dans un dossier d'avril 2020, Mireille Vallette montre par le biais de nombreux exemples qu’après quatre ans de généreuses subventions publiques et d’activisme forcené au côté de mosquées et associations minées par le fondamentalisme, ses actions témoignent au contraire d'une volonté de (ré)islamiser les musulmans et d'introduire l’islam dans tous les secteurs de la société.   

 

Lire le billet de Mireille Vallette "L’inquiétante œuvre d’islamisation du centre de Fribourg"

Télécharger le dossier "Le CSIS oeuvre-t-il vraiment à l'intégration des musulmans?" 

Brochure à télécharger

Dix ans de joutes contre l'islam conquérant

La Suisse aussi s’islamise ! L’offensive est menée par les prosélytes des mosquées avec l’appui de puissants alliés dont un centre financé par les pouvoirs publics. Au menu quotidien : tartufferies, intégrisme, démissions. Bilan intermédiaire, 2022.

 Illustr brochure Mi pour site



 

 

GENÈVE Pétition contre l'agrandissement d'une base des Frères musulmans aux Eaux-Vives

Non à l’agrandissement d’une base des Frères musulmans à Genève

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L'ASVI A DÉPOSÉ UNE PÉTITION AU GRAND CONSEIL GENEVOIS LE 3 JUIN 2021

Non à l’agrandissement d’une base des Frères musulmans à Genève

Mesdames et Messieurs les députés,

Le 5 novembre 2019, la Fondation Saïd Ramadan a obtenu l’autorisation de construire à la place du bâtiment actuel du Centre islamique de Genève (CIGE), au 104 rue des Eaux-Vives, un immeuble de plus de 900 m2 pour abriter ce même centre. Fondé en 1961 à Genève par Saïd Ramadan, le CIGE diffuse l’idéologie des Frères musulmans dans toute l’Europe. Son conseil de direction est constitué exclusivement de la famille Ramadan, dont font partie Tariq et Hani Ramadan, héritiers spirituels de leur grand-père Hassan al-Banna, lui-même fondateur de la confrérie des Frères musulmans en Egypte. Le CIGE est une base majeure de ce mouvement en Europe dont l’idéologie politico-religieuse vise à détruire les valeurs de la Suisse et de l’Occident, comme l’illustre la déclaration de son prédicateur de référence Youssef al-Qaradawi : « Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons, avec nos lois coraniques nous vous dominerons ». La confrérie est considérée comme organisation terroriste par plusieurs pays. Depuis 2017, Hani Ramadan est interdit de séjour en France pour comportements et propos faisant peser une menace grave sur l’ordre public. 

Les locaux actuels du CIGE hébergent déjà une mosquée, une bibliothèque et une salle de conférences. Le CIGE affiche dans ses statuts l’ambition « d’ouvrir à Genève et dans d’autres villes d’Europe des jardins d’enfants et des écoles pour enfants musulmans ». Il est évident que son agrandissement décuplerait sa capacité d’endoctrinement et, loin d’œuvrer pour l’intégration, la cohésion sociale et le vivre-ensemble, en ferait un vecteur encore plus puissant de séparatisme, de communautarisme et d’extrémisme.

Les signataires prient donc le Grand Conseil de renvoyer cette pétition au Conseil d’Etat afin que cette construction ne voie pas le jour.

Association Suisse Vigilance Islam


vidéo: livre "le radicalisme dans les mosquées suisses"

Islamisation, djihad culturel et concessions sans fin

Fribourg, Bâle , Berne, Lucerne, Genève... école, hôpital, piscine, cimetière, prison... Pourquoi et comment les fondamentalistes influencent-ils les institutions suisses? Quelle est la différence entre djihad culturel et islamisation?

Mireille Vallette interviewée sur son dernier livre paru aux éditions Xénia (avril 2017) - disponible chez Payot, Fnac (Suisse et France), Amazon et dans toutes les librairies.

 MV Video

ANALYSE L’Autriche et sa lutte contre la radicalisation

L’Autriche a su prendre des mesures strictes 

L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.

Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :

- Surveillance électronique
- Renforcement des outils permettant de déchoir de la nationalité autrichienne les individus condamnés pour terrorisme et détenant la nationalité d’un pays tiers
- Retrait de certaines aides sociales ainsi que du permis de conduire...