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  ISRAËL : 130 JOURS DEPUIS LE POGROM DU 7 OCTOBRE

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134 otages sont toujours retenus captifs à Gaza, quatre mois après les massacres. Personne n'a de nouvelles d'eux, d'elles à ce jour.

 

 

130 jours. Ceux qui comptent chaque jour qui les sépare d’un être cher sont arrivés à 130.

130 jours que le Hamas détient, au mépris des traités internationaux, au mépris de l’éthique militaire, au mépris de l’humanité, des civils, femmes et enfants compris.

Nous n’avons pas entendu beaucoup d’indignation parmi ceux qui pratiquent l’inversion accusatoire : ce serait Israël, le grand méchant Satan, qui commettrait un génocide, pas ceux qui ont provoqué le conflit en poussant à l’extrême les limites de la violence aveugle.

Qui s’est indigné que des civils soient détenus depuis plus de 130 jours ? Pas le CICR qui a refusé d’acheminer des médicaments. Pas Médecins sans frontières qui est occupé à accueillir les migrants aux Canaries. Pas l’ONU, ni le conseil de sécurité, ni la Commission des droits de l’homme, qui regardent ailleurs et passent plus de temps à criminaliser les victimes qu’à les défendre.

Il faut dire que le calcul arithmétique est simple. D’un côté, nous avons 57 pays musulmans comprenant 1 milliard 600 millions de ressortissants. De l’autre, un pays de 8 millions d’âmes au passé tragique.

Cela s’appelle la loi du plus fort, et cela nous confirme que de plus en plus de nations plient l’échine sous le sabre de Mahomet.

Résistons ! Disons non à l’islamisation qui gangrène le monde. Aujourd’hui c’est Israël qui est menacé de disparaître, demain ce sera l’Europe si nous laissons faire.

 

 

 

 

 

Kosovo, une guerre "juste" pour un Etat mafieux de Pierre Péan. Editions Fayard, 2013

Un livre passionnant pour qui veut mieux comprendre notre époque au travers de ce qui s'est passé au Kosovo, et surtout de quelle manière nous avons été, et sommes encore, continuellement désinformés sur ce sujet (et sur bien d’autres).

Grâce à un véritable journalisme d’investigation on y apprend :

Comment l’OTAN a préparé l’intervention au Kosovo en nous faisant croire qu’un génocide y était en cours.

Comment la diabolisation des Serbes a été organisée par des agences de relations publiques sur mandat.

Comment la presse nous a parlé d’un "plan fer à cheval", soit la planification d’un génocide des Albanais du Kosovo par les Serbes, plan qui n’a jamais existé.

Comment Médecins du monde, sponsorisé par Bernard Kouchner, a joué un rôle actif dans la diffusion de fausses rumeurs dans lesquelles les Serbes étaient assimilés aux nazis grâce à des slogans tels que "Un camp où on purifie des ethnies, ça ne vous rappelle rien ?"

Comment seuls les crimes serbes ont été rapportés et même gonflés ou mis en scène pour justifier une intervention de l'OTAN, alors que les crimes de l’UCK (armée de libération du Kosovo, organisation albanaise du Kosovo) ont été passés sous silence.

Comment un militant albanais du Kosovo a lancé la rumeur, reprise sans aucune vérification par la presse occidentale, d’une usine dans laquelle les Serbes brûlaient les corps des Albanais comme les nazis brûlaient leurs victimes dans les fours des camps de concentration.

Et comment les enquêteur de l’OSCE qui ont enquêté et analysé les cendres de cette usine n’ont absolument rien trouvé, sans que cela soit médiatisé.

Comment seules les spoliations des Albanais étaient prises en compte mais jamais les spoliations des Serbes.

Comment le meurtre de 14 paysans serbes par l’UCK a été présenté à la télévision comme le meurtre de paysans albanais par les Serbes.

Comment à l’inverse, les témoignages de soldats de l’UCK repentis parlant de trafic d’organes prélevés sur les prisonniers serbes, n’a pas eu beaucoup d’écho et n’a rencontré que le scepticisme de notre presse.

Comment beaucoup de témoins gênants ont été éliminés par l’UCK, ce qui a permis à ses criminels d’être acquittés ou de ne pas être inquiétés.

Comment les politiciens et la presse occidentale ont soutenu l’organisation mafieuse de l’UCK sans la connaître, et ont choisi de voir les choses avec une optique manichéenne qui faisaient des Albanais du Kosovo uniquement des victimes innocentes, et des Serbes du Kosovo uniquement de cruels nazis.

Comment la révélation des crimes de l’UCK aurait mis en lumière l’aveuglement et l’impéritie de trop de leaders d’opinion qui s’étaient acheté à bon compte une réputation d’humanistes.

Comment ces leaders d’opinion ont alors préféré nier un trafic d’organes pourtant documenté, en particulier par des anciens combattants de l’UCK repentis, simplement pour ne pas avoir à reconnaître leurs erreurs passées.

Comment l'OTAN a soutenu et formé les terroristes de l'UCK et marginalisé les Albanais modérés d’Ibrahim Rugova.

Comment les Albanais du Kosovo modérés ont été tués ou intimidés par l’UCK, alors que leurs meurtres étaient attribués aux Serbes.

Comment l’OTAN et la KFOR (Force pour le Kosovo, force armée multinationale mise en œuvre par l’OTAN) ont laissé les habitants serbes du Kosovo se faire persécuter par l'UCK jusqu'à ce qu'ils quittent le Kosovo.

Comment l’exode des Serbes avait déjà commencé bien avant la guerre à cause des persécutions de l’UCK envers les Serbes.

Comment la purification ethnique de tout ce qui n'était pas Albanais (Serbes, Juifs, Tziganes, Bosniaques, Ashkalis) a eu lieu sous le regard de l’OTAN et de la KFOR, sans aucune réaction de leur part pour l’empêcher.

Comment les "humanistes" si prompts à s’enflammer pour dénoncer un génocide qui n’avait pas lieu (une guerre n’est pas un génocide) sont restés muets face à une purification ethnique qui a bien eu lieu.

Comment cette purification ethnique de tout ce qui n’était pas Albanais par l’UCK a pris une très grande ampleur surtout après l’arrivée de la KFOR, censée pacifier le pays.

Comment la KFOR a chassé les troupes serbes et a ainsi laissé la voie libre à l’UCK qui a pu instaurer un climat de terreur au Kosovo.

Comment des membres de l’UCK ont soutiré de fortes sommes d’argent à des paysans Serbes en leur promettant de leur ramener leurs proches disparus.

Comment des militaires sensés protégés des civils ont laissé les civils serbes aux mains de l’UCK.

Comment des militaires français choqués par ce à quoi ils assistaient, qui n’avait rien à voir avec ce qu’on leur avait raconté avant leur arrivée, ont reçu des ordres de laisser faire.

Comment Madeleine Albright avait décidé depuis le début d’écraser les Serbes.

Comment les dés étaient pipés avant la réunion de Rambouillet censée officiellement permettre de réconcilier Serbes et Albanais,  alors qu’elle a été organisée uniquement pour justifier une intervention de l’OTAN contre les Serbes.

Comment Jacques Chirac a essayé de temporiser alors que Jospin était le va-t-en-guerre. 

Comment l’UCK albanaise a été entrainée par la DGSE (direction générale de la sécurité extérieure, service de renseignements français).

Comment l’UCK était soutenue également par la KFOR et l’OTAN.

Comment la mafia albanaise et l’UCK ont traversé la frontière albano-kosovare pour prendre la place des Albanais du Kosovo chassés par la guerre, et fabriqué de faux papiers afin de se faire passer pour des Albanais du Kosovo.

Comment Europol explique que de très nombreux réfugiés albanais du Kosovo partis pour un pays d’accueil ont été sélectionnés avec soin par la mafia.

Comment un rapport de la direction française du renseignement militaire (DRM) décrit l’UCK comme une organisation financée par la mafia albanaise et la contrebande d’héroïne.

Comment Hashim Thaci, actuel président du Kosovo, que Bernard Kouchner appelle un ami, est considéré par plusieurs services de renseignements occidentaux comme un personnage clé du crime organisé dans les Balkans.

Comment selon un rapport confidentiel de l’OTAN, un milliardaire Albanais qui a fait fortune en Suisse et est présenté comme très lié aux services secrets albanais et "l’un des plus importants chefs criminels du Kosovo", exécuteur des basse œuvres d’Hashim Thaci, a été chargé d’abord par le gouvernement albanais de "déstabiliser" le Kosovo, puis est devenu l’organisateur d’une campagne d’intimidation des Albanais du Kosovo modérés et des adversaires de l’UCK.

Comment, selon les services secrets allemands, ce milliardaire est "directement impliqué dans des activités de blanchiment d’argent, de trafic de drogue, trafic d’armes, trafic d’êtres humains, trafic de carburants, prostitution".

Comment malgré les nombreux rapports des services secrets sur les liens entre mafia et UCK, ces mêmes dirigeants de l’UCK ont pourtant été appelés à former un gouvernement du Kosovo "libéré"…

Comment malgré les nombreux témoignages d’anciens combattants de l’UCK repentis disant que les hauts responsables de l’UCK se sont livré au trafic d’organes en dépeçant des prisonniers Serbes , la "communauté internationale" et la "presse indépendante" n’est pas monté aux barricades. Et ceci même face à des témoignages comme celui d’un ancien médecin de l’UCK qui raconte avoir été amené à dépecer un jeune Serbe vivant, pour lui prélever son cœur encore palpitant.

Comment selon un rapport des services secrets allemands, la mainmise de la mafia sur le Kosovo empêche tout développement d’une économie légale.

Comment les criminels de guerre de l’UCK ont échappé aux condamnations du TPIY (tribunal pénal international pour la Yougoslavie), tout simplement parce que tous les témoins avaient été éliminés.

Comment la presse nous a désinformés en pensant lutter contre un nouveau nazisme alors qu’elle n’en avait aucune preuve, et comment à cette époque Elisabeth Lévy a été une des rares journalistes à ne pas se laisser enfumer, ce qui lui a coûté une accusation de « révisionnisme » aux côtés de Régis Debray et Noam Chomsky.

Comment des philosophes français ont foncé tête baissée dans le piège, et ont appelé à cette guerre "humanitaire".

Etc...

Un livre à lire car les méthodes utilisées sont toujours les mêmes : on nous fait croire qu'il faut faire une guerre "humanitaire" pour empêcher un "génocide" qui n'existe pas, mais que l'on met en scène (oui, il y a une guerre, mais une guerre ce n'est pas un génocide). Ensuite ceux qui émettent des doutes sont immédiatement diabolisés et plus personne n’ose s’insurger contre cette présentation des faits.

Natacha

Dossier

Les ambiguïtés du Centre suisse islam et société

Die Unklarheiten des Schweizerischen Zentrums für Islam und Gesellschaft

2 juin 2020 - Le CSIS, fondé en 2016 à l’université de Fribourg, promettait intégration, autocritique, connaissance de nos institutions et de notre droit. Dans un dossier d'avril 2020, Mireille Vallette montre par le biais de nombreux exemples qu’après quatre ans de généreuses subventions publiques et d’activisme forcené au côté de mosquées et associations minées par le fondamentalisme, ses actions témoignent au contraire d'une volonté de (ré)islamiser les musulmans et d'introduire l’islam dans tous les secteurs de la société.   

 

Lire le billet de Mireille Vallette "L’inquiétante œuvre d’islamisation du centre de Fribourg"

Télécharger le dossier "Le CSIS oeuvre-t-il vraiment à l'intégration des musulmans?" 

Brochure à télécharger

Dix ans de joutes contre l'islam conquérant

La Suisse aussi s’islamise ! L’offensive est menée par les prosélytes des mosquées avec l’appui de puissants alliés dont un centre financé par les pouvoirs publics. Au menu quotidien : tartufferies, intégrisme, démissions. Bilan intermédiaire, 2022.

 Illustr brochure Mi pour site



 

 

GENÈVE Pétition contre l'agrandissement d'une base des Frères musulmans aux Eaux-Vives

Non à l’agrandissement d’une base des Frères musulmans à Genève

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L'ASVI A DÉPOSÉ UNE PÉTITION AU GRAND CONSEIL GENEVOIS LE 3 JUIN 2021

Non à l’agrandissement d’une base des Frères musulmans à Genève

Mesdames et Messieurs les députés,

Le 5 novembre 2019, la Fondation Saïd Ramadan a obtenu l’autorisation de construire à la place du bâtiment actuel du Centre islamique de Genève (CIGE), au 104 rue des Eaux-Vives, un immeuble de plus de 900 m2 pour abriter ce même centre. Fondé en 1961 à Genève par Saïd Ramadan, le CIGE diffuse l’idéologie des Frères musulmans dans toute l’Europe. Son conseil de direction est constitué exclusivement de la famille Ramadan, dont font partie Tariq et Hani Ramadan, héritiers spirituels de leur grand-père Hassan al-Banna, lui-même fondateur de la confrérie des Frères musulmans en Egypte. Le CIGE est une base majeure de ce mouvement en Europe dont l’idéologie politico-religieuse vise à détruire les valeurs de la Suisse et de l’Occident, comme l’illustre la déclaration de son prédicateur de référence Youssef al-Qaradawi : « Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons, avec nos lois coraniques nous vous dominerons ». La confrérie est considérée comme organisation terroriste par plusieurs pays. Depuis 2017, Hani Ramadan est interdit de séjour en France pour comportements et propos faisant peser une menace grave sur l’ordre public. 

Les locaux actuels du CIGE hébergent déjà une mosquée, une bibliothèque et une salle de conférences. Le CIGE affiche dans ses statuts l’ambition « d’ouvrir à Genève et dans d’autres villes d’Europe des jardins d’enfants et des écoles pour enfants musulmans ». Il est évident que son agrandissement décuplerait sa capacité d’endoctrinement et, loin d’œuvrer pour l’intégration, la cohésion sociale et le vivre-ensemble, en ferait un vecteur encore plus puissant de séparatisme, de communautarisme et d’extrémisme.

Les signataires prient donc le Grand Conseil de renvoyer cette pétition au Conseil d’Etat afin que cette construction ne voie pas le jour.

Association Suisse Vigilance Islam


vidéo: livre "le radicalisme dans les mosquées suisses"

Islamisation, djihad culturel et concessions sans fin

Fribourg, Bâle , Berne, Lucerne, Genève... école, hôpital, piscine, cimetière, prison... Pourquoi et comment les fondamentalistes influencent-ils les institutions suisses? Quelle est la différence entre djihad culturel et islamisation?

Mireille Vallette interviewée sur son dernier livre paru aux éditions Xénia (avril 2017) - disponible chez Payot, Fnac (Suisse et France), Amazon et dans toutes les librairies.

 MV Video

ANALYSE L’Autriche et sa lutte contre la radicalisation

L’Autriche a su prendre des mesures strictes 

L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.

Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :

- Surveillance électronique
- Renforcement des outils permettant de déchoir de la nationalité autrichienne les individus condamnés pour terrorisme et détenant la nationalité d’un pays tiers
- Retrait de certaines aides sociales ainsi que du permis de conduire...