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  ISRAËL : 130 JOURS DEPUIS LE POGROM DU 7 OCTOBRE

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134 otages sont toujours retenus captifs à Gaza, quatre mois après les massacres. Personne n'a de nouvelles d'eux, d'elles à ce jour.

 

 

130 jours. Ceux qui comptent chaque jour qui les sépare d’un être cher sont arrivés à 130.

130 jours que le Hamas détient, au mépris des traités internationaux, au mépris de l’éthique militaire, au mépris de l’humanité, des civils, femmes et enfants compris.

Nous n’avons pas entendu beaucoup d’indignation parmi ceux qui pratiquent l’inversion accusatoire : ce serait Israël, le grand méchant Satan, qui commettrait un génocide, pas ceux qui ont provoqué le conflit en poussant à l’extrême les limites de la violence aveugle.

Qui s’est indigné que des civils soient détenus depuis plus de 130 jours ? Pas le CICR qui a refusé d’acheminer des médicaments. Pas Médecins sans frontières qui est occupé à accueillir les migrants aux Canaries. Pas l’ONU, ni le conseil de sécurité, ni la Commission des droits de l’homme, qui regardent ailleurs et passent plus de temps à criminaliser les victimes qu’à les défendre.

Il faut dire que le calcul arithmétique est simple. D’un côté, nous avons 57 pays musulmans comprenant 1 milliard 600 millions de ressortissants. De l’autre, un pays de 8 millions d’âmes au passé tragique.

Cela s’appelle la loi du plus fort, et cela nous confirme que de plus en plus de nations plient l’échine sous le sabre de Mahomet.

Résistons ! Disons non à l’islamisation qui gangrène le monde. Aujourd’hui c’est Israël qui est menacé de disparaître, demain ce sera l’Europe si nous laissons faire.

 

 

 

 

 

Genève, janvier 2019 - L’ASVI a envoyé un communiqué aux médias afin de dénoncer le colloque des 14-15 janvier à la Haute école de travail social. La Tribune de Genève, Le Courrier et Le Temps ont consacré un article à cette polémique. La présidente du mouvement «La laïcité, ma liberté» annonce une intervention au Grand Conseil.

Le Courrier du 8 janvier 2019 reprend nos critiques: «manifestation contre la laïcité» et «nouvelle offensive islamique» à un mois du scrutin sur la loi, ou le fait que le but de la manifestation est de faire accepter le port du voile. Rachad Armanios relaie aussi les étranges déclarations des étudiants: pourquoi des professionnelles portant le voile ou des chrétiens donnant des cours de catéchisme sont-ils si difficilement engagés dans le social? Et de citer la mise à l’écart d’une «valeur fondamentale, le respect de la dignité humaine» et l’affirmation selon laquelle une stricte laïcité s’oppose aux valeurs d’ouverture du travail social…

Vanessa Moser, porte-parole du colloque, nie que le voile soit une question centrale (et n’ose pas citer la kippa et la croix!). Quant à la directrice Joëlle Libois, elle estime, vu l’importance du sujet parmi les usagers, que les étudiants «doivent être outillés». Et que tout cela «n’a rien à voir avec l’islamisme». Le journaliste s’étonne que Jocelyne Haller soit invitée, «mais aucun de ses adversaires». C’est un malentendu répond la directrice: «Elle intervient au nom d’Avenir social qui a élaboré le code de déontologie professionnel…»

Dans la Tribune de Genève du 9 janvier, Luca Di Stefano signale que «Mireille Vallette, coutumière des coups de sang contre ce qu’elle nomme «l’avancé de l’islam», s’est adressée à la directrice de l’école, aux intervenants et à la conseillère d’Etat. «A l’entendre», l’événement serait en fait «une manifestation contre la laïcité». «Pour appuyer ses propos», elle se réfère à la lettre ouverte des étudiants. Les dires de ces derniers sont ensuite largement repris. Et leur porte-parole affirme que la proximité entre cet évènement et la votation relève du hasard. «L’objet de la votation sera sans doute soulevé, mais ce n’est pas l’objet principal.» La directrice confirme et ajoute que les étudiants ont interrogé des jeunes durant plusieurs mois sur leur rapport à la religion, dont les résultats seront révélés lors de la manifestation. Et dans leur lettre ouverte, ajoute-t-elle, «ils ouvrent le débat».

Le Temps, paru le lendemain, parle plus généralement du contexte de cette loi, mais commence par la polémique liée à l’évènement de la Haute école de travail social. «"Cela pose problème d’organiser ce colloque public pendant la campagne de votation, estime sa présidente, Mireille Vallette. Car il suffit de lire le programme pour s’apercevoir qu’il n’y aura pas de débat, juste de la publicité pour la tolérance à l’égard du voile islamique." Dans une lettre ouverte adressée aux directions d’institutions sociales de Genève, les étudiants affirment en effet clairement que l’interdiction faite aux fonctionnaires d’afficher leurs appartenances religieuses – un des points de la loi – est contraire au principe de non-discrimination.»
«L'association La Laïcité, ma liberté, créée pour contrer les référendaires à la LLE et qui réunit une centaine de membres de toutes les couleurs politiques, va aussi écrire à la ministre. Et la députée PLR Natacha Buffet-Desfayes, par ailleurs membre de cette association, va déposer d’ici peu une question écrite urgente au Conseil d’Etat: "Nous allons l’interroger sur le calendrier de ce colloque, qui nous semble problématique, ainsi que sur le mélange des genres au niveau du contenu. Les propos du programme sont souvent orientés et opposés à la laïcité." Le DIP répond simplement que "la HETS est souveraine et indépendante"».

 

Dossier

Les ambiguïtés du Centre suisse islam et société

Die Unklarheiten des Schweizerischen Zentrums für Islam und Gesellschaft

2 juin 2020 - Le CSIS, fondé en 2016 à l’université de Fribourg, promettait intégration, autocritique, connaissance de nos institutions et de notre droit. Dans un dossier d'avril 2020, Mireille Vallette montre par le biais de nombreux exemples qu’après quatre ans de généreuses subventions publiques et d’activisme forcené au côté de mosquées et associations minées par le fondamentalisme, ses actions témoignent au contraire d'une volonté de (ré)islamiser les musulmans et d'introduire l’islam dans tous les secteurs de la société.   

 

Lire le billet de Mireille Vallette "L’inquiétante œuvre d’islamisation du centre de Fribourg"

Télécharger le dossier "Le CSIS oeuvre-t-il vraiment à l'intégration des musulmans?" 

Brochure à télécharger

Dix ans de joutes contre l'islam conquérant

La Suisse aussi s’islamise ! L’offensive est menée par les prosélytes des mosquées avec l’appui de puissants alliés dont un centre financé par les pouvoirs publics. Au menu quotidien : tartufferies, intégrisme, démissions. Bilan intermédiaire, 2022.

 Illustr brochure Mi pour site



 

 

GENÈVE Pétition contre l'agrandissement d'une base des Frères musulmans aux Eaux-Vives

Non à l’agrandissement d’une base des Frères musulmans à Genève

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L'ASVI A DÉPOSÉ UNE PÉTITION AU GRAND CONSEIL GENEVOIS LE 3 JUIN 2021

Non à l’agrandissement d’une base des Frères musulmans à Genève

Mesdames et Messieurs les députés,

Le 5 novembre 2019, la Fondation Saïd Ramadan a obtenu l’autorisation de construire à la place du bâtiment actuel du Centre islamique de Genève (CIGE), au 104 rue des Eaux-Vives, un immeuble de plus de 900 m2 pour abriter ce même centre. Fondé en 1961 à Genève par Saïd Ramadan, le CIGE diffuse l’idéologie des Frères musulmans dans toute l’Europe. Son conseil de direction est constitué exclusivement de la famille Ramadan, dont font partie Tariq et Hani Ramadan, héritiers spirituels de leur grand-père Hassan al-Banna, lui-même fondateur de la confrérie des Frères musulmans en Egypte. Le CIGE est une base majeure de ce mouvement en Europe dont l’idéologie politico-religieuse vise à détruire les valeurs de la Suisse et de l’Occident, comme l’illustre la déclaration de son prédicateur de référence Youssef al-Qaradawi : « Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons, avec nos lois coraniques nous vous dominerons ». La confrérie est considérée comme organisation terroriste par plusieurs pays. Depuis 2017, Hani Ramadan est interdit de séjour en France pour comportements et propos faisant peser une menace grave sur l’ordre public. 

Les locaux actuels du CIGE hébergent déjà une mosquée, une bibliothèque et une salle de conférences. Le CIGE affiche dans ses statuts l’ambition « d’ouvrir à Genève et dans d’autres villes d’Europe des jardins d’enfants et des écoles pour enfants musulmans ». Il est évident que son agrandissement décuplerait sa capacité d’endoctrinement et, loin d’œuvrer pour l’intégration, la cohésion sociale et le vivre-ensemble, en ferait un vecteur encore plus puissant de séparatisme, de communautarisme et d’extrémisme.

Les signataires prient donc le Grand Conseil de renvoyer cette pétition au Conseil d’Etat afin que cette construction ne voie pas le jour.

Association Suisse Vigilance Islam


vidéo: livre "le radicalisme dans les mosquées suisses"

Islamisation, djihad culturel et concessions sans fin

Fribourg, Bâle , Berne, Lucerne, Genève... école, hôpital, piscine, cimetière, prison... Pourquoi et comment les fondamentalistes influencent-ils les institutions suisses? Quelle est la différence entre djihad culturel et islamisation?

Mireille Vallette interviewée sur son dernier livre paru aux éditions Xénia (avril 2017) - disponible chez Payot, Fnac (Suisse et France), Amazon et dans toutes les librairies.

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ANALYSE L’Autriche et sa lutte contre la radicalisation

L’Autriche a su prendre des mesures strictes 

L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.

Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :

- Surveillance électronique
- Renforcement des outils permettant de déchoir de la nationalité autrichienne les individus condamnés pour terrorisme et détenant la nationalité d’un pays tiers
- Retrait de certaines aides sociales ainsi que du permis de conduire...