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Soumission des élites suisses à l'islam - Élection du Dhimmi d'or 2017

Le 21 avril 2018, le Centre Suisse Islam et Société et la Commission fédérale contre le racisme, respectivement représentés par Hansjörg Schmid et Martine Brunschwig-Graf, ont été élus colauréats du « Dhimmi d’or 2017 » par l’assemblée générale de l’ASVI.

Leur choix du 11 septembre 2017, jour anniversaire du plus meurtrier attentat musulman contre des non-musulmans, pour organiser un colloque sur la prétendue « hostilité envers les musulmans », a été déterminant dans cette élection car la CFR et le CSIS ont ainsi clairement bafoué la mémoire des milliers de victimes des attentats islamiques du 11 septembre 2001. 

Les colauréats recevront  par la poste le dernier livre de Mireille Vallette: « Le radicalisme dans les mosquées suisses - islamisation, djihad culturel et concessions sans fin ». Cet ouvrage leur permettra de se documenter notamment sur la domination par les islamistes de la plupart des mosquées de Suisse ainsi que sur les conséquences néfastes de leurs propres activités en faveur de l’islam.

Les trois personnes ci-dessous avaient précédemment été nominées par le Comité de l’ASVI comme candidats au titre de « Dhimmi d’or 2017 », distinction déshonorante qui désigne une personnalité suisse pour sa soumission à l’islam et sa contribution active à l’islamisation de notre pays en 2017.

1 - Hansjörg Schmid, directeur exécutif du CSIS (Centre suisse islam et société)

Rappel: le CSIS est une institution financée par les pouvoirs publics, dont la Confédération et le canton de Fribourg. Il se présente officiellement comme « un centre de compétences traitant des questions actuelles liées à l’islam en Suisse ». En pratique, ce centre qui dépend de l’Université de Fribourg dépense nos impôts dans un seul but: faire accepter aux Suisses l’islam et les revendications de ses activistes.

Raisons de la nomination: il a eu le très mauvais goût de co-organiser le 11 septembre 2017 à l’Université de Fribourg avec la Commission fédérale contre le racisme une conférence sur le thème : « L’hostilité envers les musulmans ». Par ailleurs, il s’obstine à refuser, en dépit de notre pétition d’octobre 2017 ayant récolté près de 800 signatures en quelques semaines, que des débats critiques sur l’islam puissent avoir lieu au CSIS, confirmant ainsi la vocation de ce centre de haut-parleur étatique de l’islam militant.

2 - Martine Brunschwig-Graf, présidente de la Commission fédérale contre le racisme

Raison de la nomination: elle a contribué au choix de la date du 11 septembre pour l’organisation du colloque mentionné plus haut.  

3 - Christophe Darbellay, conseiller d’état du Valais en charge du département de la formation

Raison de la nomination: il s’est démené pour que l’initiative UDC VS « Pour des têtes nues dans les écoles du Valais » soit déclarée irrecevable par le Grand conseil valaisan. Il a notamment déclaré : « Le gouvernement combat aussi cette initiative qui viole une série de droits fondamentaux », acceptant ainsi que des préceptes obscurantistes qui sexualisent les corps des fillettes puissent s’imposer jusque dans les écoles du Valais.

 

ANALYSE L’Autriche et sa lutte contre la radicalisation

L’Autriche a su prendre des mesures strictes 

L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.

Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :

- Surveillance électronique
- Renforcement des outils permettant de déchoir de la nationalité autrichienne les individus condamnés pour terrorisme et détenant la nationalité d’un pays tiers
- Retrait de certaines aides sociales ainsi que du permis de conduire...