5 mai 2017 - Vaud: "Je n'ai jamais vu de terroriste parmi les migrants de Syrie", déclare un ex-espion français devant des élèves d'Yverdon. C'est qu'il n'a pas bien regardé. (Et selon lui, le terrorisme islamique n'a rien à voir avec l'islam...)
4 mai 2017 - Canton de Genève: une mosquée ouvre, la population est mal informée (article du journal Le Matin) partie 1 partie 2
23 mars 2017 - Les chefs religieux albanais de Suisse signent une charte, mais la presse alémanique doute de la sincérité de la démarche
23 février 2017 - Winterthur, razzia à An'nur... - voir aussi ICI
19 février 2017 - Arme, carte SIM et personne de contact: des complices suisses pour le tueur de Berlin?
L’Autriche a su prendre des mesures strictes
L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.
Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :