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Dhimmi d'Or 2016

Le terme "dhimmi" est un mot arabe désignant, dans les pays arabo-musulmans, le citoyen non musulman. S’appliquant essentiellement aux chrétiens et aux juifs, que les musulmans appellent aussi "gens du Livre", il les renvoie à leur condition subie d’infériorité de droit ou de fait. Il est exigé du dhimmi, gouverné par la peur et n’ayant pas d’autre choix, de témoigner régulièrement devant les musulmans de l’intériorisation de sa condition humiliante en se soumettant aux avanies que lois et coutumes islamiques ont prévues pour lui. Quant aux athées, polythéistes, animistes, hindouistes, bouddhistes, yézidis et autres, leur sort est encore moins enviable que celui des "gens du Livre" : leur existence en terre d'islam n'est tout simplement pas envisageable d'après le Coran (pour plus de précisions, voir ICI).

En Suisse comme dans le reste de l'Europe, la plupart des élites politiques, économiques, intellectuelles et médiatiques, sont devenues des dhimmis virtuels et volontaires à force de se plier aux exigences islamiques, lesquelles s’opposent pourtant à nos valeurs démocratiques. L’ignorance, la naïveté, la repentance, l’électoralisme, l’appât du gain, ou bien la lâcheté, expliquent ce comportement.

Si rien n’est entrepris pour faire prendre conscience à ces élites de leur irresponsabilité, l’islamisation de notre continent va s’accélérer et toute sa population connaîtra un jour la terrible servitude du statut de dhimmi réel.

 

Cesla Amarelle élue « Dhimmie d’Or 2016 » 

29 avril 2017 - Les adhérents de l'ASVI présents à l'assemblée générale ont élu la conseillère nationale vaudoise.

Étaient nominés pour le titre:

1 - M. François Longchamp, président PLR du Conseil d’état genevois, qui ignore les vraies victimes du terrorisme islamique en Europe : François Longchamp a affirmé le 12 octobre 2016, en introduction à la conférence de l’Université de Genève sur le sujet « L’islam en Europe » : « La première victime visée par le terrorisme d’aujourd’hui est l’islam d’Europe ».  

2 - Mme Cesla Amarelle, conseillère nationale socialiste du canton de Vaud, qui ne veut pas interdire la burqa en Suisse : Cesla Amarelle a déclaré le 14 août 2016 être "contre l'interdiction de la burqa qui confinerait la femme à l'espace privé". 

3 - Mme Ada Marra, également conseillère nationale socialiste du canton de Vaud, qui prétend qu’interdire la burqa en Suisse, c’est stigmatiser les musulmans : Ada Marra a déclaré le 12 août 2016 : «S’il y a un problème de burqa dans un pays, l’interdire c’est du féminisme. S’il n’y a pas de problème réel de burqa, l’interdire c’est stigmatiser.»

4 - Mme Béatrice Ambühl, la directrice des Bains de la Gruyère, qui autorise les tenues de bain islamiques en bafouant, puis en modifiant le règlement des Bains : A propos du règlement des Bains de la Gruyère qui interdisait le port de maillots de bain descendant plus bas que les genoux, Béatrice Ambühl a déclaré en novembre 2016 : « C’est une maladresse de notre part. Ce règlement a été adopté il y a plus de neuf ans. Après ce débat sur Facebook, j’ai vu qu’il était encore en ligne sur notre site. Le passage concernant le genou a été retiré lundi.». Nous précisons que le débat sur Facebook a été lancé par l’ASVI suite à la publication d’un billet de notre présidente sur son blog.

 

Cesla Amarelle recevra le livre de l'écrivain algérien Hamid Zanaz « Non! Nos voix ne sont pas une honte - entretiens avec des intellectuelles issues du monde de l'islam ». Cet ouvrage la renseignera sur ce que pensent les féministes vivant dans les pays à majorité musulmane.

 

Sur les lauréats 2015 (Suisse et Europe), voir la rubrique ACTIONS.

N'hésitez pas à nous proposer des candidats pour l'année en cours! 

 

 

ANALYSE L’Autriche et sa lutte contre la radicalisation

L’Autriche a su prendre des mesures strictes 

L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.

Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :

- Surveillance électronique
- Renforcement des outils permettant de déchoir de la nationalité autrichienne les individus condamnés pour terrorisme et détenant la nationalité d’un pays tiers
- Retrait de certaines aides sociales ainsi que du permis de conduire...