Accueil

  ISRAËL : 130 JOURS DEPUIS LE POGROM DU 7 OCTOBRE

Capture_décran_2024-02-15_à_01.02.35.png


134 otages sont toujours retenus captifs à Gaza, quatre mois après les massacres. Personne n'a de nouvelles d'eux, d'elles à ce jour.

 

 

130 jours. Ceux qui comptent chaque jour qui les sépare d’un être cher sont arrivés à 130.

130 jours que le Hamas détient, au mépris des traités internationaux, au mépris de l’éthique militaire, au mépris de l’humanité, des civils, femmes et enfants compris.

Nous n’avons pas entendu beaucoup d’indignation parmi ceux qui pratiquent l’inversion accusatoire : ce serait Israël, le grand méchant Satan, qui commettrait un génocide, pas ceux qui ont provoqué le conflit en poussant à l’extrême les limites de la violence aveugle.

Qui s’est indigné que des civils soient détenus depuis plus de 130 jours ? Pas le CICR qui a refusé d’acheminer des médicaments. Pas Médecins sans frontières qui est occupé à accueillir les migrants aux Canaries. Pas l’ONU, ni le conseil de sécurité, ni la Commission des droits de l’homme, qui regardent ailleurs et passent plus de temps à criminaliser les victimes qu’à les défendre.

Il faut dire que le calcul arithmétique est simple. D’un côté, nous avons 57 pays musulmans comprenant 1 milliard 600 millions de ressortissants. De l’autre, un pays de 8 millions d’âmes au passé tragique.

Cela s’appelle la loi du plus fort, et cela nous confirme que de plus en plus de nations plient l’échine sous le sabre de Mahomet.

Résistons ! Disons non à l’islamisation qui gangrène le monde. Aujourd’hui c’est Israël qui est menacé de disparaître, demain ce sera l’Europe si nous laissons faire.

 

 

 

 

 

Récolte de signatures à Neuchâtel pour l'initiative "anti-burqa"

Samedi 8 octobre, un petit groupe de militants a collecté des signatures à Neuchâtel. Et avec les signatures, ils ont récolté quelques réactions, notamment de musulmans.

Par exemple, l’air pétrifié de cette jeune femme de type européen qui semble tentée, mais répète ne pas pouvoir signer, parce qu’elle est musulmane… peut-être, plutôt, parce qu’elle est accompagnée d’un homme oriental?

Le sourire malheureux  de cette jeune fille qui répond avec fatalisme : « Mais je suis musulmane ». Avant de signer tout de même. L'aurait-elle fait en présence de sa famille?

La voix déterminée et le regard dur de ce jeune homme, la vingtaine, qui arrive à moto avec sa sœur, cheveux blonds au vent : « On est musulmans. On n'est pas contre la burqa. On est contre ceux qui sont contre. » À la question : « Mais vous, la porteriez-vous ? »,  la jeune fille aux jeans serrés grommelle quelque chose en s’éloignant, laissant son frère, coiffé et vêtu à la mode lui aussi, défendre le « droit de s'habiller comme on veut » et d’ensevelir son corps et sa personnalité sous un accoutrement d’un autre âge.

La confidence de cette Suissesse qui a conseillé à sa fille, dont le mari a récemment promis à sa mère de (re)devenir un bon musulman, de cacher les passeports des enfants. Sa fille, qui a « heureusement un fort caractère », résiste aux pressions de ses belles-sœurs pour lui faire porter le voile.

Nous avons apprécié aussi la joie de certaines personnes de pouvoir « enfin faire quelque chose », leur hâte à signer avant même qu’on ait terminé la première phrase… Comme cette famille entière qui a fait prestement circuler stylo et formulaire.

Les cueilleurs ont aussi eu la gratification d’expliquer la signification de ce vêtement à  des gens qui sentent bien que quelque chose ne va pas, mais n’ont jamais eu l’occasion d’en discuter à cœur ouvert.

Et toutes ces autres rencontres, d'une ou plusieurs minutes, et ces trouvailles ou retrouvailles d'amis.

L'opération a été un succès. Ce jour-là, en quelques heures, à Neuchâtel, plus de deux cents personnes ont soutenu l'initiative pour l’interdiction de se dissimuler le visage. L’islam et son étendard le plus choquant n'ont pas fini d’occuper les esprits.

Dossier

Les ambiguïtés du Centre suisse islam et société

Die Unklarheiten des Schweizerischen Zentrums für Islam und Gesellschaft

2 juin 2020 - Le CSIS, fondé en 2016 à l’université de Fribourg, promettait intégration, autocritique, connaissance de nos institutions et de notre droit. Dans un dossier d'avril 2020, Mireille Vallette montre par le biais de nombreux exemples qu’après quatre ans de généreuses subventions publiques et d’activisme forcené au côté de mosquées et associations minées par le fondamentalisme, ses actions témoignent au contraire d'une volonté de (ré)islamiser les musulmans et d'introduire l’islam dans tous les secteurs de la société.   

 

Lire le billet de Mireille Vallette "L’inquiétante œuvre d’islamisation du centre de Fribourg"

Télécharger le dossier "Le CSIS oeuvre-t-il vraiment à l'intégration des musulmans?" 

Brochure à télécharger

Dix ans de joutes contre l'islam conquérant

La Suisse aussi s’islamise ! L’offensive est menée par les prosélytes des mosquées avec l’appui de puissants alliés dont un centre financé par les pouvoirs publics. Au menu quotidien : tartufferies, intégrisme, démissions. Bilan intermédiaire, 2022.

 Illustr brochure Mi pour site



 

 

GENÈVE Pétition contre l'agrandissement d'une base des Frères musulmans aux Eaux-Vives

Non à l’agrandissement d’une base des Frères musulmans à Genève

                    cige 2

L'ASVI A DÉPOSÉ UNE PÉTITION AU GRAND CONSEIL GENEVOIS LE 3 JUIN 2021

Non à l’agrandissement d’une base des Frères musulmans à Genève

Mesdames et Messieurs les députés,

Le 5 novembre 2019, la Fondation Saïd Ramadan a obtenu l’autorisation de construire à la place du bâtiment actuel du Centre islamique de Genève (CIGE), au 104 rue des Eaux-Vives, un immeuble de plus de 900 m2 pour abriter ce même centre. Fondé en 1961 à Genève par Saïd Ramadan, le CIGE diffuse l’idéologie des Frères musulmans dans toute l’Europe. Son conseil de direction est constitué exclusivement de la famille Ramadan, dont font partie Tariq et Hani Ramadan, héritiers spirituels de leur grand-père Hassan al-Banna, lui-même fondateur de la confrérie des Frères musulmans en Egypte. Le CIGE est une base majeure de ce mouvement en Europe dont l’idéologie politico-religieuse vise à détruire les valeurs de la Suisse et de l’Occident, comme l’illustre la déclaration de son prédicateur de référence Youssef al-Qaradawi : « Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons, avec nos lois coraniques nous vous dominerons ». La confrérie est considérée comme organisation terroriste par plusieurs pays. Depuis 2017, Hani Ramadan est interdit de séjour en France pour comportements et propos faisant peser une menace grave sur l’ordre public. 

Les locaux actuels du CIGE hébergent déjà une mosquée, une bibliothèque et une salle de conférences. Le CIGE affiche dans ses statuts l’ambition « d’ouvrir à Genève et dans d’autres villes d’Europe des jardins d’enfants et des écoles pour enfants musulmans ». Il est évident que son agrandissement décuplerait sa capacité d’endoctrinement et, loin d’œuvrer pour l’intégration, la cohésion sociale et le vivre-ensemble, en ferait un vecteur encore plus puissant de séparatisme, de communautarisme et d’extrémisme.

Les signataires prient donc le Grand Conseil de renvoyer cette pétition au Conseil d’Etat afin que cette construction ne voie pas le jour.

Association Suisse Vigilance Islam


vidéo: livre "le radicalisme dans les mosquées suisses"

Islamisation, djihad culturel et concessions sans fin

Fribourg, Bâle , Berne, Lucerne, Genève... école, hôpital, piscine, cimetière, prison... Pourquoi et comment les fondamentalistes influencent-ils les institutions suisses? Quelle est la différence entre djihad culturel et islamisation?

Mireille Vallette interviewée sur son dernier livre paru aux éditions Xénia (avril 2017) - disponible chez Payot, Fnac (Suisse et France), Amazon et dans toutes les librairies.

 MV Video

ANALYSE L’Autriche et sa lutte contre la radicalisation

L’Autriche a su prendre des mesures strictes 

L’Autriche s’est dotée d’une Loi sur l’islam en 2015. Elle avait fait couler beaucoup d’encre et de salive lors de son adoption, notamment dans certains pays de l’UE, Vienne étant accusée de faire le jeu du populisme et de stigmatiser les musulmans. Il faut dire que le Chancelier Sebastian Kurz, chef du Österreichische Volkspartei (ÖVP), conservateur, étant alors allié du Parti de la liberté (FPÖ), qualifié d’extrême-droite, ceci expliquait cela. Six ans après, cette loi ne fait plus la une de la presse occidentale, les accusations à son égard s’étant révélées sans fondement. Ce texte pondéré a pour but de fixer les droits et obligations des musulmans dans une société démocratique, ni plus, ni moins, et elle a clarifié bien des choses. Elle exige des étrangers de confession musulmane venus s’établir en Autriche «une attitude positive envers l’Etat et la société». Voilà qui devrait aller de soi.

Le 2 novembre 2020 un ressortissant de Macédoine du Nord, naturalisé autrichien, commet un attentat qui coûte la vie à 4 personnes et en blesse 15 autres. Le chancelier Sebastian Kurz annonce le 11 novembre des mesures strictes contre les djihadistes se trouvant en Autriche :

- Surveillance électronique
- Renforcement des outils permettant de déchoir de la nationalité autrichienne les individus condamnés pour terrorisme et détenant la nationalité d’un pays tiers
- Retrait de certaines aides sociales ainsi que du permis de conduire...